Le papillon s'envole
Datte: 24/08/2017,
Catégories:
2couples,
hplusag,
fplusag,
cocus,
vengeance,
Oral
69,
pénétratio,
hsodo,
échange,
confession,
entrecoup,
... déjà il avance pour m’enlacer. Son baiser respire le désir, ses mains sont plus que baladeuses. Je me demande si l’idée de mon mari était si bonne que cela. Il m’avait dit : — Si tu veux mettre Julien rapidement dans l’ambiance, le plus simple c’est de choisir la bonne tenue. On voit de plus en plus de lingerie coquine avec porte-jarretelles. Tu pourrais l’attendre ainsi, avec un petit haut. Il avait ajouté : — C’est très parlant et ainsi tu n’auras pas besoin de faire plus. J’avais répondu : — Non, ça fait un peu trop « pute » ! Tout de même ! N’oublie pas que je le fais venir pour me venger de ta prétendue infidélité. Mais, par contre, je peux mettre un chemisier un peu transparent et une jupe ras-le-bonbon. On avait conclu ainsi. Les décider à venir avait été très facile. Max, dans le rôle du mari fidèle qui veut goûter à nouveau au fruit défendu. Moi, dans le rôle de la femme bafouée qui a surpris son mari en pleine conversation avec Armelle et qui propose à Julien de la rejoindre… chez moi… dans le lit conjugal. Pour reproduire ce que mon mari adore, mais avec un amant afin que lorsqu’il saura, et il saura, car je veux nous filmer, il soit vraiment cocu jusque dans ses propres fantasmes. Inutile de dire que Julien avait sauté sur l’occasion. Et l’occasion il l’avait sous les yeux. Il l’avait même sous la main. Déjà, il passe une main sous la jupette et découvre que mon slip lui laisse mes fesses accessibles. Deux boutons du chemisier lui donnent accès à mes seins. J’ai ...
... bien du mal à l’attirer jusqu’à salon. J’essaie de le calmer par un : — Attends. Ne sois pas si impatient. Laisse-moi faire. Il obéit, manifestement prêt à tout, du moment que je passe à la casserole. D’une certaine façon, je peux être fière de produire un tel effet sur un homme plus jeune que moi. Sous son manteau, il est en chemise. Il y a bien longtemps que je n’ai plus détaché les boutons d’une chemise d’homme. Dire qu’il me facilite le travail est un euphémisme. Il a dix mains. Certaines m’aident à le déshabiller. D’autres enlèvent mon chemisier, détachent ma jupe pour me laisser en string. Oh le regard ! Oh le soupir ! Oh le sourire ! Oh ! Oh ! La verge à demi dressée ! Oh, ce nouveau baiser qui me colle à lui. Cela ne va pas être évident. Il faut que je lui rappelle pourquoi je l’ai fait venir. Je me saisis de son mandrin dans une main caressante alors que je lui rappelle à l’oreille la raison de sa présence, vengeance de femme bafouée, scène particulière pour que le mari se sente lui aussi bafoué, punit, cocu au plus profond. — Je vais monter. Tu me rejoins dans quelques minutes. Le temps de lancer la caméra et de m’installer… Surtout n’allume pas… C’est dans son fantasme… Je serai attachée. Bâillonnée… toute à toi… Je veux que nous montrions à Max que je peux avoir du plaisir avec un autre homme, que j’ai réalisé son fantasme en réalité, que je me suis vengée… dans son lit…— Oh, oui, ne t’inquiète pas, il va se souvenir de ce que nous allons lui montrer.— Bien. Un ...