À toute chose malheur est bon ! - Histoires de Sexe

À toute chose malheur est bon !

... me demanda Pierre avec une certaine fierté. Je voyais bien sur quel terrain il voulait m’amener. — Je dois dire que les lieux me paraissent propices à l’imagination la plus délurée !— Vous faites erreur mon cher ! Ici on n’imagine pas, on agit ! Me coupa-t-il en faisant un clin d’œil à sa charmante épouse. Se retournant vers la jeune servante, il lui demanda de nous servir le café. La jeune femme s’approcha de la table basse et se pencha pour servir dans les tasses le breuvage brûlant. Tel que j’étais installé, j’avais une vue panoramique sur son séant avec force détails compte tenu de la faible distance qui me séparait d’elle. Pierre, qui faisait face à la servante, me demanda en souriant : — Alors ? Comment trouvez-vous l’intimité de Clotilde ?— Très agréable et bien tentante ! répondis-je un peu gêné.— Vous ne remarquez rien ? insista-t-il. Regardez mieux, approchez-vous ! En m’approchant un peu plus, effectivement, je pus voir une sorte de pastille d’une couleur bleue, un peu translucide, placée exactement sur l’anus de la jeune femme. — Je vois bien cette sorte de pastille, là ! répondis-je en montrant du doigt. Corinne s’approcha de mon oreille et me souffla délicatement : — Ce n’est pas une pastille. C’est un plug anal !— Un quoi ?— Un plug anal, dit Pierre avec conviction. C’est pour préparer son petit trou. Je vois que vous sortez de l’œuf mon bon Jean ! Il va falloir remédier à ce manque d’éducation regrettable… Je compris que Clotilde, la jeune servante, devait se ...

... préparer à subir les assauts du maître de maison. Certainement une habitude des lieux. — Avez-vous déjà pratiqué la sodomie ? me susurra Corinne. Dire que la question me mit mal à l’aise est un doux euphémisme. Aussi, ma température interne commençant à augmenter notoirement, je me levai et retirai ma veste d’uniforme pour me rasseoir aux côtés de Corinne. — Pour répondre à votre question… je me contenterai de dire que la seule expérience que j’ai pu avoir avec mon épouse m’a refroidi à jamais !— Elle n’a pas apprécié ? interrogea Pierre.— C’est à dire que dès la première douleur lors de la pénétration, elle s’est retirée et m’a juré que c’était bien la dernière fois qu’elle m’autoriserait l’accès à sa rosette. Et jusqu’à aujourd’hui, elle a tenu parole, hélas !— Vous êtes un novice, Jean ! Sachez que cette pratique impose une préparation longue et délicate. Il faut savoir apprivoiser le muscle et le rendre malléable à souhait. Une fois fait dans les règles de l’art, car c’en est un, le plaisir intense que procure la sodomie est partagé par les deux partenaires. Qu’en pensez-vous ma chère ? demanda-t-il à son épouse.— Je préfère laisser Clotilde répondre. Elle est intéressée au premier chef et je sais qu’elle a les mêmes vues que moi sur le sujet. En tournant la tête dans ma direction, Clotilde confirma avec enthousiasme. — C’est vrai ! La jouissance que me procure la sodomie est d’une intensité que je ne peux pas vous décrire. C’est pour moi le summum dans l’acte sexuel.— Je ...