1. À toute chose malheur est bon !


    Datte: 15/05/2019, Catégories: fh, grp, couple, uniforme, fépilée, noculotte, Oral préservati, double, fsodo, Partouze / Groupe fouetfesse, extraconj, bourge,

    ... pas tarder. Surtout ne bougez pas. Vous avez mal quelque part en particulier ?— J’ai mal un peu partout et j’ai la tête qui tourne, mais ça va aller. Voyant que la pauvre femme commençait à grelotter, je pris dans ma voiture le gros manteau qui est toujours sur la banquette arrière. En la couvrant de mon manteau orné de galons dorés, elle me demanda : — Vous êtes militaire ?— Non ! Je suis pilote et j’allais au boulot. J’ai plus important à faire maintenant.— Ne vous mettez pas en retard, les secours vont arriver.— Vous ne croyez quand même pas que je vais vous laisser là sans surveillance ? Allez ! Arrêter de vous fatiguer et calmez-vous, je m’occupe de tout. À peine avais-je fini ma phrase, que la pauvre femme perdit connaissance. Merde ! Me voilà beau ! Qu’est ce que je fais ? me dis-je non sans une certaine inquiétude. — Ohé ! Madame ! Restez avec moi ! Ne vous endormez pas ! lui dis-je tout en lui tapotant les joues pour essayer de la ranimer. Après quelques secondes, elle rouvrit les yeux. — Que m’est-il arrivée ? demanda-t-elle.— Rien de bien grave, juste un petit accrochage. Je m’occupe de vous. Au même moment, j’entendis un véhicule au loin. Le temps que je referme la portière, les pompiers arrivèrent. Trois hommes en tenue descendirent du véhicule et l’un d’eux s’adressa à moi : — C’est vous qui avez appelé ?— Oui ! J’ai dû arriver juste après qu’elle se soit mise dans le fossé. J’ai coupé le moteur qui tournait encore.— Elle est consciente ?— Oui ! Elle a perdu ...
    ... connaissance juste quelques secondes, c’est tout. Elle dit qu’elle a mal partout, sans pouvoir préciser.— Bon ! On va la prendre en charge. Pendant ce temps-là, ses deux collègues commencèrent les opérations qu’ils estimaient nécessaires au sauvetage de l’infortunée conductrice. Un peu en retrait pour ne pas déranger, je restais là, les bras ballants, à attendre une éventuelle consigne ou une demande d’aide. Il ne fallut que quelques minutes aux sauveteurs pour prendre en charge la pauvre femme et l’installer au chaud sur le brancard de l’ambulance. Celui qui semblait être le chef vint vers moi. — Vous la connaissez ?— Non, pas du tout.— Bon, on va l’emmener à l’hôpital.— Vous prenez son sac à main peut-être et ses affaires ? demandai-je.— Oui. On va prendre tout ça dans la voiture. J’appellerai ensuite la dépanneuse pour la sortir de là. Ce pourrait être dangereux pour les autres. Une fois le sac à main récupéré et les clefs rangées dans la boîte à gants, le chef des pompiers me remercia pour mon aide et il me demanda : — On peut éventuellement vous joindre quelque part si besoin ? En fouillant au fond d’une de mes poches, je retrouvai une carte de visite professionnelle que je lui tendis. — Voilà ! Il y a mon numéro de portable. S’il y a un souci quelconque, n’hésitez pas. Le pompier me remercia puis monta à l’arrière du véhicule de secours. En regardant la camionnette s’éloigner, je me dis qu’il ne me restait plus qu’une chose à faire : aller travailler ! - ooOoo - Le ...
«1234...15»