1. À toute chose malheur est bon !


    Datte: 15/05/2019, Catégories: fh, grp, couple, uniforme, fépilée, noculotte, Oral préservati, double, fsodo, Partouze / Groupe fouetfesse, extraconj, bourge,

    ... savais même plus si je lui avais parlé de cet incident à l’époque. — Je ne veux pas vous obliger. Vous n’avez peut-être rien préparé.— Mais si justement ! Tout est prêt ! On n’attend plus que vous ! Étonné d’une telle promptitude, je m’interrogeai à haute voix : — Comment saviez-vous que j’allais accepter ?— Un pilote sait toujours s’adapter à une situation nouvelle ! Non ? Bien que la situation m’apparaisse quelque peu surréaliste, j’acceptai de bon cœur l’invitation. — Laissez-moi le temps de prévenir ma femme. Mais au fait, où habitez-vous ?— Vous la préviendrez à la maison. Nous sommes pas loin de Nantes. Je vous donne l’adresse… Le temps de prendre un bout de papier et un stylo et je notai l’adresse en prenant soin d’ajouter les indications de mon hôte afin de trouver plus facilement. C’est en prenant l’adresse que je me rendis compte que j’étais en fait à quelques minutes de son domicile. — Ça ne va pas être long ! Je suis juste à côté, à quelques kilomètres. Mais ça ne vous dérange pas ? Vous êtes sûr ? insistai-je encore.— Puisse que je vous dis que ça fera très plaisir à ma femme qui veut vraiment vous remercier ; venez et vous verrez ! Vous passerez un très bon moment, je vous le garantis !— Bon ! J’arrive ! Vous me prenez de court, mais j’arrive ! - ooOoo - Arrivé à l’adresse que j’avais notée, je dus m’assurer qu’il s’agissait bien du bon numéro, car la maison dont il était question ressemblait plus à un manoir qu’à une bicoque de lotissement. Elle trônait, ...
    ... fièrement installée en plein bourg, à deux pas de tous les petits commerces. Je me trouvais en fait à quelque cinq kilomètres de chez moi. Comme quoi le hasard fait parfois bien les choses ! Un peu honteux d’avoir garé ma vieille voiture devant pareille demeure, je tirai sur la cloche qui faisait office de sonnerie. Quelques secondes plus tard, la grande porte d’entrée s’ouvrit et un homme d’une quarantaine d’années, de taille moyenne en tenue typique de « gentleman farmer » apparut dans l’encadrement. Avant qu’il ne descende le perron, il s’adressa à moi avec un grand sourire : — Bonjour ! Vous êtes Jean ? me demanda-t-il avec conviction.— Euh… oui ! C’est moi ! Bonjour ! J’étais derrière la grille, l’air un peu idiot, me demandant ce que je faisais là, avec ce désagréable sentiment de faire tâche d’huile dans le décor. Pourquoi avais-je accepté et qu’est-ce que j’allais bien pouvoir leur raconter durant le repas ? À voir ce manoir, l’allure de mon hôte, j’avais le désagréable sentiment que nous n’étions pas du même monde et qu’il ne serait pas facile de trouver des centres d’intérêt communs pour engager la discussion. — Je me doutais que c’était vous, car à cette heure-ci personne ne vient jamais nous visiter, précisa-t-il en ouvrant le portail. Il me fit signe d’entrer d’un large geste et, en me tendant la main, il se présenta. — Je suis Pierre. Le mari de Corinne. Vous êtes le bienvenu dans cette modeste demeure familiale. Je vous avoue être un peu fier de recevoir chez nous un ...
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