1. Sexe et loyauté


    Datte: 15/05/2019, Catégories: Anal Mature, Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... promettait le grand jeu. Elle m'affirma que j'étais un bon coup et qu'elle voulait me revoir. Nous échangeâmes nos numéros. Je percevais dans son ton la flatterie qu'elle devait infliger à tous ses amants. Néanmoins j'aurais voulu savoir si j’œuvrais mieux que mon ami et rival. Je perçus cependant la bassesse de ma petite question. Elle me suçât au bord de la piscine et disparut dans sa chambre tandis que le couple revenait soupçonnant que l’affaire avait été faite en leur absence.Annie dédaignât de me regarder et de me saluer. Le pote resté en arrière me fit un signe interrogateur. Par ma mimique je le rassurais et déclenchais une joie non feinte en son visage. Ce goret dut en parler à sa femme dans la cuisine. J'aurais préféré qu'il ne lui relatât pas ce triomphe modeste et qui ne m'honorait pas. Cela confinait à la gaffe. J'encourais de perdre tout espoir d'att****r Annie. Je pris l’occasion d'un instant où nous fûmes seuls pour lui dire : « Je n'ai qu'obéi à vos ordres. » Elle me lança un regard furieux de ses yeux gris. Je serais volontiers rentré en terre.Le dîner fut atroce. Annie faisait la gueule. Le pote habillât cela de ce qu’elle avait été affectée de voir leur ami couché dans sa chambre d'hôpital. Elle prit prétexte de cela pour aller se coucher prématurément. Le pote sans pudeur en profitât pour entraîner la pute blonde dans une chambre. Il voulait se rassasier une dernière fois. J'eus idée surtout qu'il voulait passer juste derrière moi et y laissait son ...
    ... empreinte définitive. A travers la porte on les entendait gémir. Par décence je mis à fond le son de la télé. Il y avait un match de foot. Je n'étais pas mécontent qu'on se débarrassât de la pute.Le lendemain les adieux furent vifs à défaut d'être sincères. Les deux amies roucoulaient. Un esprit profane ou superficiel n'eût pas distingué entre le vrai et le faux et les eût cru les meilleurs amies du monde. Mon pote lui-même me poussant par le coude me chuchotât : « T'as vu ce que les gonzesses peuvent être hypocrites entre elles. Cela ne se ferait pas entre nous, hein ? » Je faillis m'étrangler. Ce benêt mesurait mal la chaleur de notre propre relation. Je perçus qu'il regrettait l'opportunité d'avoir sous son toit cette garce à discrétion et qu'il devrait chercher ailleurs maintenant.Je pris sur moi de ne pas repartir à l’attaque d'Annie aussitôt . Je devais faire preuve de pudeur et de patience. Ce temps de différé me l'attacherait témoignant en ma faveur. Je vis qu’elle avait besoin de calme et qu'à cet égard elle trouvait bon que je distrayas son mari l’éloignant un peu d'elle. Elle m’en sut gré et me le fit savoir un soir par un sourire. Elle chuchotât. « Demain refaisons des courses ! » Elle fut apprêtée presque comme l'autre fois et tout autant enjouée. Cette fois je n’attendis pas plusieurs kilomètres pour apposer ma main sur sa cuisse qu'elle ne repoussa pas.Peu après nous être garés en un parking souterrain, nous nous embrassâmes. Je lui dis : « J’attendais cela depuis ...
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