1. Sexe et loyauté


    Datte: 15/05/2019, Catégories: Anal Mature, Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... longtemps ». Auquel elle répondit : « Je sais. » J'aurais aimé au gré des rues lui tenir la main et témoigner à la terre entière qu'elle était mienne ou du moins pour bientôt. Nous nous contentions de nous sourire et de nous frôler. Dans une papeterie derrière un panneau de cartes postales je parvins à voler un second baiser. Ni le mari ni la copine ne réussirraient à nous séparer.A la même terrasse de café son dangling fut plus mesuré. Sa jambe se collant à la mienne.Au parking j'obtins qu'elle se penchât sur moi et commençât à me sucer. En riant elle me fit observer qu'à ce moment d’autres couples faisaient de même en cet endroit. Je ne pus m’empêcher de penser qu’elle avait du faire cela ici souvent avec des amants. Je repoussais vite et loin la pointe de la jalousie. Elle suçait avec application et une once de délicatesse notamment en sa façon de vous pourlécher le gland et de le savourer longtemps dans la bouche. J'eus presqu'envie de lui dire qu’elle était plus raffinée que son amie en cet exercice. J'étais à cet instant le plus heureux des hommes.Près d'un champ brûlé par le soleil d'été nous fîmes l'amour. Elle se révélât non moins furie que sa copine bien que de façon diverse. Cette baise était pourvue d'un fort sentiment qui anoblit le désir. Je l'avais rêvé, convoité depuis trop longtemps. J'abordais enfin au port. J'affrontais son regard dur et cependant si bienveillant durant l'acte. Elle ...
    ... semblait vouloir lire en moi ma totale implication. Mesurais-je ma chance, l'honneur qu'elle me faisait ? J'aurais voulu lui dire, lui écrire que c'était un commencement et non une fin. J'étais venue ici que pour elle en quelque sorte.Gêné en rentrant je m'enfuis en ma chambre ne voulant croiser le regard du copain ce qui m'aurait trahi. J'entrevis ce qu'aurait de pénible cette promiscuité entre nous trois. Elle eût la sagesse souvent d'aller du travail car la rentrée approchait. Nos métiers nous rappelaient. Bien que chômeur je mis à contribution ces derniers jours à fourbir mes plans, mes projets avec le pote. Il était optimiste pour moi. Cela marcherait. Entre temps je m'arrangeais avec la miss pour nous rencontrer à l'extérieur ou à l'insu du mari. Bientôt nous en conçûmes plus d’excitation et une joie perverse.Je sus d'elle enfin qu'il n'y avait plus rien de sexuel entre eux. Cependant il était sage qu'il ne nous sut pas amants. Il m’appréciait vraiment contrairement à ce que j’avais pu penser. Il voulait m'aider et était un vrai ami. J'eus honte de le trahir ainsi. Elle me dit que je ne devais pas. Le sexe, l'amour sont cruels. Seul importait nous deux. Nous nous retrouverions sur Paris bientôt. Elle décidait de me faire une place en sa vie. Je n'osais lui dire d'éjecter ses autres amants. Elle valait bien cependant que je lui fis le sacrifice de mon amour-propre. A ce jour je n'en ai rien regretté. 
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