1. Ma main et moi


    Datte: 15/05/2019, Catégories: fh, ffh, fbi, Collègues / Travail médical, handicap, campagne, douche, intermast, Oral pénétratio, init,

    ... langue s’introduisit au creux de son ventre, pénétrant sa chaleur humide. Je la glissai le plus loin que je pus, tournant, explorant, découvrant. La respiration de la jeune femme se faisait plus brève, plus sifflante. Elle était saccadée. Chloé se tordait sous ma langue. Ma bouche se referma sur son clitoris, l’aspirant. L’infirmière se tortilla subitement, laissant échapper un gémissement. Ses jambes emprisonnèrent ma tête. Caroline les écarta et se plaça dans mon dos. Je sentis sa main se glisser entre mes jambes et s’emparer de mes testicules, de mon sexe. Elle commença à me masturber lentement. Je placai mes mains sur les hanches de l’infirmière et bloquai ses jambes pour les empêcher de se refermer. Ma bouche se posa sur sa vulve, l’emprisonnant totalement. Je la léchai, l’aspirai, goûtant son miel qui coulait de plus en plus. Chloé se tordait, se cambrait, vibrait. De petits cris s’échappaient de sa bouche. Ses mains tordaient ses seins gonflés de désir, les caressaient. Ma langue et ma bouche se déchaînèrent sur son bouton, le léchant, le mordillant, le titillant, le gobant… La jeune femme jouit longuement, bruyamment. Mais je n’arrêtai pas mes caresses. Une deuxième jouissance se déclencha. J’accentuai les mouvements de ma langue et mon doigt, imprégné de la liqueur de son sexe, vint se poser sur son anus largement exposé lui aussi. Chloé se souleva violemment, dans un cri et me repoussa brusquement. Elle haletait. — Oh, c’est trop fort. Trop fort. Ses mains s’étaient ...
    ... posés sur son sexe pour le protéger, fermant ses jambes sur elles. Je posai un baiser sur son sein. Epuisée, elle dormait presque. Alors je roulai sur le dos et laissai Caroline continuer son mouvement de va-et-vient sur mon sexe pendant un moment. Mais je voulais qu’elle aie aussi sa part de plaisir. Je l’attirai vers moi. Et nous continuâmes là où nous en étions avant d’être interrompus. Son sexe était humide, ouvert. Je crois qu’émoustillée par le spectacle que nous lui avions offert elle avait dû se caresser, mais je ne l’avais pas vue le faire. J’entrai à nouveau en elle. Je retrouvai sa chaleur. Mon doigt vint chercher son clitoris, gros et dur, et pendant qu’elle montait et descendait sur moi, je le décalottai, jouant avec lui, le pinçant doucement, le caressant. — Attends. Caroline se retourna, reprit mon sexe en elle. Les jambes largement écartées, les bras tendus en arrière, elle faisait face au miroir. Placée comme elle l’était, elle pouvait voir mon sexe entrer en elle et sortir, ses grandes lèvres me cachant, me révélant. La couleur brune de mon membre contrastait avec le rose nacré de sa grotte. — J’adore cette position. Je peux te voir en moi. Comme si tu me faisais deux fois l’amour. Alors elle imposa son rythme, montant et descendant, son plaisir l’emplissant petit à petit. Sa matrice m’enserrait, m’emprisonnait, me relâchait. Nos souffles se faisaient courts. Sa tête était tendue vers l’arrière. Une bouche se referma sur mes testicules, me surprenant. Je me ...