1. Perle de Guinée -2


    Datte: 15/05/2019, Catégories: fh, couleurs, bain, forêt, amour, Oral pénétratio, humour, aventure,

    ... douce et ronde s’appuyer contre la seule partie de mon corps qui est, ô combien tendue, que dis-je, rigide ! La coquine est maintenant carrément allongée sur moi, à demi portée par l’eau tiède, nos ventres se touchent, se séparent, se retouchent. Les pointes durcies de ses seins caressent les miens… jamais je n’aurais cru avoir des tétons si sensibles et je bande de plus belle. Nos lèvres se touchent, nos langues se cherchent, se découvrent, presque timidement d’abord, puis avec une violence qui fait s’entrechoquer nos dents. Nous roulons sur le basalte lisse et c’est moi qui me retrouve sur elle, toujours à demi flottant, je sens les poils frisés de son pubis chatouiller mon vit tendu. Je me laisse doucement glisser vers sa poitrine offerte, posant d’abord ma joue dans le creux qui les sépare, je lèche la peau brun foncé du sein le plus proche qu’une soudaine chair de poule hérisse, je pousse ma langue vers l’aréole un peu grenue qui se distingue à peine du satin noir de cette douce colline. Petite prunelle au sommet de cette merveille, le téton que je croque du bout des dents a une saveur vanillée, je le pousse de la langue, arrachant un petit cri à sa propriétaire. Je tourne la tête et gobe l’autre téton… pas question de faire des jaloux ; Anne-Marie apprécie et ronronne. Qu’elle est belle ma Guinéenne, avec toutes ces petites tresses flottant autour de son visage d’ébène, la bouche entrouverte sur un sourire que ses dents blanches éclairent. — Embrasse-moi encore, mon ...
    ... toubab, mange-moi ! Je ne me fais guère prier et glisse sur la peau douce, remontant vers ses lèvres offertes, mon sexe caressant au passage le buisson frisotté qui se niche au creux de son ventre… Nous nous étreignons comme deux êtres qui soudain trouvent ce qu’ils cherchaient depuis toujours, roulant dans la rivière qui nous reçoit complice, et nous porte. Dans notre délire, nous avons glissé de notre dalle et je me retrouve debout, les pieds calés dans le sable. Anne-Marie, les bras autour de mon cou, a noué ses jambes autour des miennes et bouge doucement, sa bouche soudée à ma bouche. Je sens le long de mon vit douloureux la douceur de sa chair, brûlante malgré l’eau qui nous baigne… Prenant appui sur mes épaules, elle monte, redescend lentement, remonte, encore et encore… Je ne sais plus où j’en suis, je ne sais pas comment je tiens… — Viens maintenant, viens dans moi… Au moment de redescendre, elle s’est légèrement cambrée, ses jambes appuyant sur mes cuisses et d’un seul mouvement s’est empalée avec un petit cri… — Oh oui ! Pendant quelques secondes, nous ne bougeons plus, mes mains sous ses fesses (ah ! ces fesses !), ses bras autour de mon cou, nos torses un peu écartés, nous nous regardons, comme étonnés d’être là, deux êtres, deux inconnus un jour plus tôt, une Noire, un Blanc, seuls au cœur de l’Afrique ! Puis le sourire renaît sur son visage et doucement Anne-Marie commence à bouger, à son rythme, je sens les muscles de son vagin se contracter, se détendre autour ...
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