1. Perle de Guinée -2


    Datte: 15/05/2019, Catégories: fh, couleurs, bain, forêt, amour, Oral pénétratio, humour, aventure,

    ... de mon sexe douloureux. Mais que cette douleur est donc délicieuse ! Ses bouts de seins viennent danser, les tortionnaires, contre les miens, je jurerais sentir passer le courant et jaillir des étincelles. Je sens que ne vais pas pouvoir tenir longtemps à ce rythme… je vois les lèvres de mon amante se pincer, son souffle se faire court… — Philippe, Philippe, je, je… ooh ! Une vague de chaleur m’empoigne les reins, tandis que nos sexes semblent fusionner. Anne-Marie gémit et me griffe le dos tandis que je me déverse en elle, encore et encore. Nous nous retrouvons, bouche contre bouche, ventre contre ventre, allongés sur notre rocher poli, je bande toujours, mais mon sexe est devenu si sensible que je bouge plus, les jambes de ma compagne me serrent comme un étau. — Reste, reste en moi… La petite mort ? Non, la béatitude plutôt, rien ne compte plus que le contact de nos deux corps pas encore rassasiés. Lorsque se défait l’anneau de ses jambes et qu’elle s’allonge à mes côtés sur la pierre tiède, je contemple émerveillé ce corps étendu, offert mon regard, à mes caresses. Anne-Marie de son côté lorgne d’un air gourmand cette partie de moi qui ne daigne toujours pas baisser la tête… elle le caresse tout d’abord d’une main distraite, puis, s’asseyant, à demi hors de l’eau, dépose un petit baiser sur le gland rubicond. La chose ne peut s’empêcher de tressaillir, ce qui fait s’esclaffer la jeune fille… — Dis donc, pouffe-t-elle, tu sais que pour un Blanc tu n’es pas mal équipé… et ...
    ... ça tient la distance, cette chose-là ! Saisissant l’objet de sa convoitise entre deux doigts, elle sort un petit bout de langue rose et en titille gentiment le bout… Elle s’interrompt, me lance un regard faussement ingénu. — Je peux ? Sans attendre ma réponse, elle me prend en bouche comme un sucre d’orge, d’abord presque timidement, puis avec plus d’assurance, tandis que de son autre main elle caresse mes bourses douloureuses. Le spectacle est au-delà de mes fantasmes les plus fous, tandis que mon vit entre et sort de sa jolie bouche, que ses deux seins aux pointes tendues semblent me narguer, je peux voir le héron qui a repris sa pêche à moins de dix mètres de nous, tandis que la troupe de macaques assiste au spectacle dans le grand fromager qui marque l’entrée du sentier ! Je plane… Anne-Marie me contemple, un sourire extatique fleurit sur ses lèvres gourmandes et, ses yeux noirs rivés aux miens, se redresse, m’enjambe et me remettant en elle d’un geste des plus naturels entreprend de me faire redescendre sur terre, aussi mouillée soit-elle. Elle monte et descend, en appui sur ses jambes repliées, ses mains en coupe caressent les deux collines de sa poitrine qu’elle semble m’offrir, les yeux brillants. Je ne bouge pas, fasciné de voir mon vit apparaître et disparaître, clair sur noir, de plus en plus vite. Elle gémit doucement, ralentit son rythme, je sens ses muscles internes se contracter autour de moi, tandis qu’elle jouit, les yeux au ciel. Je reste planté en elle, ...
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