1. Le Maître


    Datte: 15/05/2019, Catégories: fh, fplusag, profélève, école, intermast, pénétratio, init,

    ... L’hypertrophie de votre chatte gorgée de mes blanches effluves ne laissait qu’à peine entrevoir la destination que vous me réserviez. Le contact de votre rose des vents me fut douloureux tant l’orifice me paraissait minuscule, mais sitôt la résistance vaincue, je me glissai d’un trait dans l’infinie tendresse de vos chairs écartelées. L’étrange conduit huileux se referma énergiquement sur ma garde et mes allants prisonniers marquèrent leur révolte de prompts à-coups. Ivre de bonheur, j’enserrai passionnément dans mes bras votre tronc musclé qui se démenait comme un diable sur mon fût encore brûlant. Mes doigts s’aventurèrent dans vos replis inondés à la recherche de la grenade orgasmique. J’avais déjà acquis quelques réflexes, et c’est sans surprise qu’une fois dégoupillée, je vous entendis à nouveau exploser. Rassemblant mes dernières forces, je vous fis basculer en avant. Votre échine tressaillit à l’emballement de ma petite mécanique. Mon second épanchement, plus violent et plus intense que le précédent, me fit l’effet d’une déchirure sulfureuse. Sous mes jaillissements liquoreux, vous versiez dans l’euphorie guerrière. — Ne vous arrêtez-pas, défoncez-moi ! défoncez-moi !!! Le relâchement de votre vocabulaire me laissa à penser que vous aviez rejoint d’autres cieux. À l’heure de me retirer, la fine lettrée m’apparut dans ses penchants et relents les plus triviaux. Tant d’abnégation à démontrer la relativité des choses méritait bien un hommage de l’élève au maître. Une ...
    ... courte pause autour d’une tasse de thé et je revenais à la charge… La fin de l’année et mon admission au baccalauréat nous séparèrent. Mon succès à l’examen, décroché de justesse pour cause d’allergie chronique aux matières scientifiques, fut quelque peu terni par la tristesse de vous perdre. Ne pouvant m’y résoudre, je profitai de la fête de fin d’année au lycée pour me glisser dans la salle des professeurs entre les petits fours et les bouteilles de champagne. Je vous cherchais lorsque j’aperçus l’un de vos excentriques chapeaux au beau milieu de l’assemblée. Pour mon malheur, une espèce d’armoire à glace veillait jalousement sur vous. Il s’agissait de votre mari. Bien en vue du petit peuple des enseignants, le grand cinquantenaire exhibait sa puissance en vous tenant par le bras comme un couronnement à sa réussite sociale. Que trouviez-vous donc à cet homme au demeurant fort laid ? Je guettai le moment propice pour vous aborder. Par la grâce des incitations des magazines féminins à boire un litre d’eau par jour, vous vous en fûtes vers les toilettes. Je saisis l’occasion pour jouer mon va-tout et me jeter presque sur vous. — Madame, on ne peut pas se quitter ainsi ! Je n’obtins de vous que deux mots de conclusion, légués comme un testament, de cette élégance si rare avec laquelle vous mettiez les points finaux. — Carpe Diem ! Notre sporadique relation s’acheva sur cette chute. La dernière image que j’eue de vous s’évanouit bien vite derrière l’épaisse vitre fumée de la Benz ...
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