1. Le Maître


    Datte: 15/05/2019, Catégories: fh, fplusag, profélève, école, intermast, pénétratio, init,

    ... de vous honorer. Vos mains expérimentées me décachetaient par petites touches. En élève appliqué, je vins m’adonner au lustrage de votre deuxième peau au gré des creux et des gouffres sombres, sans omettre le moindre centimètre carré, et ce jusqu’à venir buter, affamé de vous, sur le sceau brillant de vos bas-fonds. Je savourais d’imaginer, à une langue du but ultime de ma quête, le sexe chaud livré sans plus aucune muraille protectrice à mes ardeurs fébriles. J’écartai la mince lanière du string en cuir, obnubilé par cette bouche rose qui m’appelait et que j’embrassai de toute ma fougue. Votre toison drue s’invita dans le bouillon fumeux de ma salive et de vos eaux pétrifiantes. Je vous pénétrai sans modération avec un doigt, puis deux, puis trois. Votre abondance aqueuse m’encourageait en ce sens. Ma langue se joignit à la fête et se faufila dans toutes les cavités qu’il lui était donné de trouver sur sa route. Vos amples gémissements me donnaient une idée assez exaltante de la tempête qui se préparait. Votre retenue avait fini par capituler et votre bouche n’en finissait pas d’exaspérer mes sens. — Pénétrez-moi… pénétrez-moi, maintenant !!! Je ne tardai pas à venir m’abîmer dans les charmes d’une inoubliable levrette. J’entrouvris délicatement vos cuisses. Par un heureux hasard, mon jeune loup frôla votre clitoris. Je vous touchai à cœur et vos sentiments ruisselèrent sur le latex des cuissardes que vous n’aviez pas eu la patience de défaire. Voyant l’effet produit, je ...
    ... limitai dans un premier temps mes visées expansionnistes à votre périphérie la plus sensible, puis, galvanisé par les poussées lyriques de votre abandon, je fondis en votre sein et coulissai allegro dans votre fourreau intime. Malgré mes évidentes maladresses, votre émoi me donnait du cœur à l’ouvrage. Je m’engonçais dans votre extase toujours plus profondément. Conduit par vous, je saisis à pleine main les pommes de vos charmes oscillant dans le vide. Leur chair incroyablement élastique tolérait les pires empoignades malgré une apparente fragilité. Je sentis leurs bouts pointer dans mes paumes. Pincés, titillés entre mon pouce et mon index, les tétons survoltés redoublaient d’ardeur érectile. J’étais déjà en nage. La moiteur de votre antre humectait les attouchements de nos corps d’une chaleur tropicale. Douleur et jouissance se conjuguaient dans nos cris. Le rythme obsédant de notre Chevauchée des Walkyries donnait dans la musique baroque. Vos reins battaient la mesure comme des chefs d’orchestre survoltés. Débordé par toute cette pompe, j’atteignis immanquablement le point de non-retour. C’était presque trop d’émotion pour moi, comment vous le cacher ? Je consentis à vous cracher le morceau, non sans quelques beaux sursauts d’orgueil. Mes violentes trépidations manquèrent de nous faire chavirer. Au son de mon rut, les flots de ma jouissance fusèrent en vous. Vous ne me rendîtes la liberté que pour vous asseoir sur le piton de ma fournaise. Votre cul furibond fondit sur moi. ...