1. Mon pauvre Bernard


    Datte: 17/05/2019, Catégories: jeunes, extracon, Inceste / Tabou copains, plage, campagne, jardin, fête, Collègues / Travail Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral pénétratio, confession,

    ... minutes, me dis-tu.— Ils en ont pour un quart d’heure, rectifia Yvan qui vous connaissait bien. Dès que vous avez franchi le seuil de son hall, Yvan ouvrit sa braguette d’où jaillit un sexe que je ne voyais pas dans la nuit mais que mes doigts jugèrent apte à me donner un peu de plaisir. Ma culotte finit sur mes chevilles et je me retrouvai assise sur lui, mon minou tout mouillé ayant absorbé son sexe. Son doigt retrouva ce qu’il avait dû quitter et, me soulevant et redescendant lentement il ne tarda pas à exploser et à se vider tout au fond de moi. Lorsqu’ils redescendirent nous étions sagement assis, chacun contre sa porte. — Vous en avez mis du temps. On se gèle dans cette voiture, me crus-je obligée de vous reprocher *** Et Gilles ? Ton copain le toubib ? Un chaud lapin celui-là aussi ! Tu m’as souvent reprochée d’être un peu hypocondriaque, d’être toujours fourrée chez le médecin. Tu ne croyais pas si bien dire, j’étais souvent fourrée chez le médecin mais aussi par le médecin. Au début je ne comprenais pas trop pourquoi, même si je n’avais qu’un problème de gorge, il me demandait de quitter ma culotte et de m’allonger. Il me tripotait alors, sous des prétextes médicaux bien sûr, pendant plusieurs minutes. — Tout est lié, me disait-il lorsque je lui demandais pourquoi il procédait à ces attouchements. Une muqueuse fragile peut entraîner des problèmes plus graves et c’est pour ça que je veux vérifier. Il me prenait pour une conne, c’était certain, mais je n’avais nulle ...
    ... envie de lui refuser. Il m’enfilait ses doigts et ce geste était sensé analyser la sensibilité desdites muqueuses. Mais mon clitoris, lui, il appréciait beaucoup ces introductions et je me sentais fondre. Je gardais mon sang froid, observant du coin de l’œil ce médecin, ami de la famille qui, manifestement, prenait du plaisir à avoir mon sexe sous ses yeux et sous ses doigts. Plus les années passaient, et sans doute puisque je n’avais jamais rechigné à être ainsi tripotée, plus il sollicitait mon clitoris. Les sex-toys n’existaient pas alors mais il m’enfilait une espèce de cylindre pour, disait-il, diffuser un produit sensé me faire du bien et qui m’excitait beaucoup. Il lui est même arrivé de m’en enfiler un dans le minou et l’autre dans mon petit trou, préalablement préparé avec un de ses doigts enduit de crème. J’ai cru défaillir ce jour-là. J’avais l’impression qu’ils se touchaient et je me sentais littéralement fondre. La première fois où j’eus, sous ses doigts, un orgasme, il fit celui qui n’avait rien remarqué. — Rhabille-toi ! Il faudra que je te revoie rapidement. conclut-il simplement. Et, au moment de partir : — Tu salueras Bernard de ma part Une fois dans la rue, je pris conscience qu’il m’avait tripotée, qu’il m’avait masturbée et, qu’en plus, il m’avait fait payer la séance. Très bon le toubib ! Et puisqu’il voulait me revoir, il me revit. Mêmes visites, même procédure, quitter la culotte s’allonger jambes écartées et sentir que ce qui vous est prodigué n’est, ma ...
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