Mon pauvre Bernard
Datte: 17/05/2019,
Catégories:
jeunes,
extracon,
Inceste / Tabou
copains,
plage,
campagne,
jardin,
fête,
Collègues / Travail
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Oral
pénétratio,
confession,
... foi, pas désagréable. Désormais je ne prenais aucune précaution en matière de jouissance, dès que c’était bon, je me laissais aller. Et c’était souvent, et longtemps bon. Un jour je sentis que ce qu’il m’introduisait était moins froid mais plus gros, et plus chaud qu’habituellement. Il avait laissé tomber son pantalon et, comme j’étais juste à portée, il s’était faufilé. Je plantais mes yeux dans les siens : — Mais enfin, Gilles, qu’est-ce que tu me fais ? Il fit mine de se retirer mais je le rassurai : — J’espère simplement que tu ne vas pas me louper et que je ne regretterai pas le montant de ma visite. Extra ! Se faire enfiler ainsi, confortablement installée, certaine de ne pas être découverte, c’était fabuleux. En effet, comme tu le disais, j’étais souvent fourrée chez le médecin. *** Tu te souviens de ce barbecue un été, il y a bien longtemps ? Tu sais, le jour où avec Marc on a mis le feu à la pelouse. Avec Martine, sa femme, vous étiez allés faire des courses qu’elle avait fait préparer et qui allaient durer un bout de temps. Des braises étaient tombées et la pelouse un peu sèche avait grillé sur quelques mètres carrés. Marc avait aussitôt attrapé le jet d’eau et avait rapidement éteint ce petit feu mais il en avait profité pour m’asperger. Je n’avais enfilé ce jour-là que cette petite robe d’été que je portais à même la peau. Mouillée, elle se collait à mon corps et je vis son regard changer. Je me jetai sur lui pour lui arracher le tuyau et l’arroser à mon tour. Il ...
... ne voulut pas se laisser faire et nous nous sommes retrouvés par terre, nous disputant le tuyau, nous roulant dans l’eau que nous venions de répandre. Comme des enfants nous nous amusions, jouant avec ce jet d’eau qui continuait à nous mouiller, mais je ne voulais pas céder. Marc, sûrement ravi de me sentir tout contre lui, résista longtemps. Je finis par prendre conscience que ma robe, collée à la peau, était remontée dans la bagarre et que, allongée sur le dos, j’étais nue jusqu’au ventre. Le regard de Marc, à genoux entre mes pieds, allait de mes yeux, à mes cuisses ouvertes. Il progressa sur les mains, toujours à genoux, et ses doigts vinrent souligner mes tétons qui pointaient à travers le tissu. Sa bouche chercha la mienne, son ventre se colla au mien. Mes doigts cherchèrent les boutons de son bermuda qui fut vite ôté. Lorsqu’il me pénétra, je me sentis transportée, comme dans un film. Nous étions en train de faire l’amour dans l’eau, dans la boue, animalement, et j’aimais ça. Et manifestement il aimait aussi, si j’en crois le grognement qu’il poussa quand je sentis son ventre écraser plus fort le mien et qu’il se déversa en moi. Lorsque sa femme et toi êtes arrivés nous étions tout mouillés bien sûr mais nous avions fait disparaître toute trace de terre de nos vêtements et de notre peau. J’avais également utilisé le jet d’eau pour me rincer. — Je vais t’aider, m’avait-il dit. Accroupie, genoux écartés, je dirigeai le jet sur mon sexe lorsqu’il en écarta les lèvres pour ...