1. Hérodiade


    Datte: 17/05/2019, Catégories: fh, jeunes, copains, plage, amour, intermast, pénétratio, init, nostalgie,

    ... brinquebalante. Il proposa de faire une virée au bord de la Loire mais il était bien trop tard. Il suggéra alors d’aller nous y baigner les jours suivants. Quelques-uns d’entre nous prirent date pour le mardi après-midi. Ceux et celles qui disposaient d’un moyen de transport pouvaient se rendre directement à cette plage que nous connaissions tous, en face d’un château fort en ruines. Les autres se retrouveraient dans le bistrot. J’avais bien mon vélo mais la plage était loin. Gérard était là avec sa mobylette, sa « meule » comme il disait, dont le siège de plastique noir permettait que quelqu’un puisse s’y installer en croupe. Tout au long de l’année, il emmenait ainsi sa petite sœur au collège. Comme elle n’était pas avec nous, la place était libre. Je me suis dit que j’allais compter jusqu’à dix et que si, arrivée à dix, je ne lui avais pas demandé de m’emmener, j’étais définitivement une pauvre fille. — Tu m’emmènes, Gérard ? J’en étais à huit. Il a rougi, souri, bafouillé. — Si tu veux, Martine… Oui, avec le plus grand plaisir. Chantal a rigolé avant de monter dans la 2 chevaux, derrière, à côté d’un garçon qui ne m’intéressait pas. Sur la meule, j’avais les cuisses de part et d’autres de celles de Gérard, et les bras autour de sa taille. Il était courbé vers l’avant pour offrir une moindre résistance au vent. J’ai fait de même, mes seins aplatis sur son dos. Il portait une chemisette bleue, non boutonnée, flottant sur un short de toile. Mes mains se rejoignaient sur ...
    ... son ventre chaud et musclé. J’avais mon bikini rouge sous mon chemisier et ma jupe légère qui descendait normalement à mi-cuisses quand j’étais debout mais là j’étais assise ! Je n’étais pas plus indécente qu’une autre mais je me savais désirable et j’en étais contente. Quand nous sommes arrivés, nous avons retrouvés Patrick, ses passagers et quelques autres qui avaient été plus rapides que nous. Les garçons s’amusaient à passer entre les jambes écartées des filles, dans l’eau jusqu’à la taille. Cela permet quelques frôlements, des mains sur les cuisses ou les fesses, quand ce n’est pas carrément sur la chatte. Et l’inverse, ensuite, peut donner aux filles qui le désirent l’occasion de tâter des slips pleins de virilités gonflées. On nous cria que l’eau était bonne et qu’il fallait nous dépêcher de venir rejoindre les autres. Gérard me regarda, interrogatif. J’étais en train de me débarrasser de ma jupe et mon chemisier était déjà sur ma serviette de bain. Je lui ai dit d’y aller s’il le voulait mais que moi je restais tranquille à me dorer au soleil. — Alors je reste avec toi, Martine, si tu le veux bien.— Je le veux bien… Gérard. Je me suis ointe de crème anti-solaire. Je lui en ai proposé mais il n’en a pas voulu. Je n’ai pas osé lui demander de m’en passer sur le dos, j’ai préféré faire quelques contorsions. Il avait la peau très mate mais je lui en aurais bien étalé sur les épaules et le dos, moi. Et pourquoi pas, même, sur la poitrine et le ventre ? À charge de revanche, ...
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