Hérodiade - Histoires de Sexe

Hérodiade

... mais de là à avaler ça… — J’avais tellement envie ! s’est excusé Gérard. Allait-il me laisser en plan, ensuite ? Ça m’avait tout l’air d’être son intention. Il s’était servi de sa bouche pour pousser quelques grognements, si bien qu’il avait délaissé ma chatte, et il ne manifestait pas l’intention de reprendre du service. Son membre devenait tout rabougri. Monsieur haletait, satisfait, béat. J’allais me lever, pleine de mépris, quand il m’a souri. — Ma pauvre chérie, pardonne-moi ! Et laisse-moi faire, maintenant. Allonge-toi et laisse-moi faire. Ce sera la première fois pour moi, et je suis tellement content que ce soit avec toi, Martine. Qu’il était donc gentil ! D’abord à genoux entre mes chevilles, puis couché, les lèvres tout de suite sur ma chatte que ses mains avaient ouverte en grande hâte avant de se porter à mes seins pour en triturer les pointes, il a exploré, aspiré les petites lèvres et le bouton, suçoté, fait vibrer du bout de la langue. C’était un peu brutal mais j’ai adoré. Il avait le museau tout mouillé quand il a relevé la tête, après m’avoir entendue crier de bonheur, mes mains crispées sur ses tempes. Il bandait de nouveau. Ah jeunesse ! Moi, j’étais morte. Enfin… provisoirement. Il a promené son membre sur mes joues, mes lèvres, mes seins, mon ventre. J’ai serré les cuisses et fait obstacle de mes deux mains. — Pas comme ça, Gérard, pas maintenant !— J’ai tellement envie, ma chérie, je ferai attention, je te le promets. Je n’ai rien répondu et je l’ai laissé faire. J’ai eu un peu mal et pas du tout de plaisir. Enfin si, le plaisir de lui faire plaisir. Il est sorti de moi en temps opportun. Il y avait sur la pouzzolane, quand nous avons quitté cette grotte, une tache blanche et rouge. Des lutins en naquirent peut-être, qui lutinent les jeunes filles encore vierges.