1. Hérodiade


    Datte: 17/05/2019, Catégories: fh, jeunes, copains, plage, amour, intermast, pénétratio, init, nostalgie,

    ... Ils écoutèrent des tubes de l’époque, à tue-tête. Michel, qui m’avait saluée de la main en arrivant, me cria de bien écouter le 45 tours qu’il glissait dans l’appareil. C’étaitLa poupée qui fait non de Michel Polnareff. C’est une poupée-ée-ée qui fait non, non, non, non… Toute la journée-ée-ée elle fait non, non, non, non… Gérard m’a demandé si je connaissais le type qui venait de me parler. Question stupide ! J’ai répondu que c’était un copain de mon frère et qu’il n’y avait pas moyen d’être un peu tranquille. — Si on allait ailleurs ? lui ai-je proposé.— Bonne idée ! Nous sommes partis, nos vêtements et nos serviettes de bain à la main. Nous avons glissé l’ensemble dans la sacoche de la mobylette. Sur le siège, mes cuisses nues se serraient contre les siennes, nues également. J’adorais ! Il n’était pas question d’aller bien loin, en principe. Mais, dans une ligne droite, il s’est courbé pour favoriser l’aérodynamisme, mes seins se sont alors collés à son dos brûlant et mes lèvres en bas de son cou, sur la si douce peau qui recouvrait une vertèbre. Mes mains, jointes sur son ventre, s’appuyèrent bientôt sur un solide bâton de chair. Gérard freina pour s’engager dans un chemin qui conduisait à un petit bois, sur la colline. Nous nous étions redressés. Je n’avais pas déplacé mes mains. Il suffisait de si peu de choses… Je n’ai pas pris la peine de compter, cette fois, j’ai glissé la main droite dans son slip de bain encore humide, et j’ai empoigné le bâton. Gérard roulait ...
    ... lentement, très lentement. Je ne le masturbais pas, simplement j’avais pris possession de son sexe bandé. Mon cœur battait follement. Mais qu’allait-il penser, ce si gentil garçon ? Je me promis de lui dire, quand nous serions arrêtés dans le petit bois, que c’était la première fois que j’avais ce genre de geste. Le chemin contournait une carrière de pouzzolane abandonnée. Il y avait donc des grottes, dans lesquelles nous serions à l’abri de tout regard. Le moteur de la meule une fois arrêté, j’ai sorti la main du slip de Gérard et je me suis mise debout, les bras ballants. Il a appuyé sa monture contre un vieux pin rabougri, sans se presser, et il s’est tourné vers moi. Alors ses yeux verts dans les miens, ses cheveux dépeignés, son membre bien moulé par le nylon de son slip de bain. Qu’est-ce qu’il attendait pour me prendre dans ses bras ? Il ne souriait pas, son visage était grave. Je voyais battre une artère à son cou. Et il restait là, planté ! J’étais au bord des larmes quand il s’est enfin décidé à faire un pas en avant et à m’ouvrir ses bras. Je me suis jetée contre lui, les lèvres déjà entrouvertes. Il balbutiait mon prénom quand sa bouche cessait de dévorer la mienne, avant d’aussitôt recommencer. Nos langues se palpaient avec délices, nos bas-ventres se frottaient l’un contre l’autre. Mes mains palpaient les fesses de ce garçon. Et les mains de ce garçon étaient partout sur moi : dos, fesses, seins, ventre, chatte déjà trempée ! Il a tiré sur le cordon de mon haut de ...
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