Le restaurant, et l'imprévu - Histoires de Sexe

Le restaurant, et l'imprévu

... expert comptable associée, et je suis ingénieur commercial grands comptes pour un gros fabricant de solutions de détection anti-intrusions. Un job qui également m’amène à quelques déplacements dans le grand Ouest de la France. Les conversations croisées vont bon train Nos sexes à l’air libre se tendent à l’occasion de quelques pressions sur les télécommandes de ces dames, amenant en réponse un effleurant de nos pieds sur les chattes de nos coquines… Autant Henri ne serait pas gêné d’être le premier soumis, autant que, pour ma part n’ayant pas de pratique, je me pose plein de questions sur le comment je vivrais cette situation si je venais à être concerné. Nos plats arrivent ; nous avons commandé unanimement des turbots aux baies roses et à la vodka avec fondue de poireaux, que nous avons décidé Henri et moi, d’accompagner d’un Pouilly-Fumé 2010. Pour libertiner, rien de mieux que de manger léger et raffiné. Catherine nous regarde et déclare : — Pour des joueurs débutants, vous n’avez pas froid aux yeux. Combien nous en avons vus qui « posent un lapin », se décommandent au dernier moment, voire pendant le jeu se dégonflent lorsqu’il s’agit d’aller plus loin – hommes ou femmes, d’ailleurs – alors que vous, vous n’hésitez pas. Respect ! Nous pouvons rester sur la même partition que nous venons de vivre ; c’est super. À moins que vous soyez vraiment prêts à vivre une initiation D/S. Henri, habitué du discours de Catherine, sourit. Marie lui renvoie son sourire en appuyant sur ...

... la télécommande, niveau 5. Henri, surpris, sent son préservatif se remplir de foutre. Catherine regarde Caroline : — Bravo, tu apprends vite : il vient de perdre. Puis se retournant vers moi : — Tu as gagné car je le voulais bien ; tu vas me le faire jouir du cul, tout à l’heure.— Les amours, puisque nous connaissons le premier soumis, nous vous autorisons à aller fumer une cigarette avant le dessert et profiter de l’occasion pour vous repoudrer le nez. Discrètement, nous réajustons les braguettes et nous prenons la direction du fumoir. Les dames de cœur à table se regardent et éclatent de rire : — Alors là, chapeau ! Tu m’as prise de vitesse. Et Marie de répondre : — J’ai très envie de voir Joseph lui secouer la rondelle ; mais rassure-toi, j’aimerais beaucoup que tu t’occupes de notre éducation : c’est dans nos envies. Ce week-end, nous voulons bouger nos curseurs. La main de Catherine se pose sur celle de Marie. — Tu peux compter sur Henri et moi ; nous aimons switcher nos rôles. J’ai beaucoup aimé les coups de bite de ton mec, et il a aimé ma façon de le goder. Nous ne sommes pas couchés, et surtout ce repas m’a ragaillardie ; pas toi ? L’une et l’autre partent se remaquiller. Henri et moi terminons de tirer sur nos cigarillos ; dehors, la nuit est douce, et elle promet d’être longue. — Bon : dessert, café, et on repart pour une nuit d’ivresse. Voilà un programme comme on aime. Nous rejoignons nos compagnes au moment où arrivent les desserts à base de fruit frais. — Café, ...