1. Le restaurant, et l'imprévu


    Datte: 17/05/2019, Catégories: 2couples, fbi, hbi, couplus, extraoffre, hépilé, fépilée, fsoumise, hsoumis, photofilm, policier,

    ... des éclairs fusent, l’orage éclate. — Eh bien, cette pluie d’été fera le plus grand bien ; elle va nous permettre de vous faire visiter le souterrain qui relie les deux demeures. Chers amis, suivez le guide ! dit il en appuyant sur un bouton discret. La porte d’un placard découvre une descente en pierre parfaitement éclairée. Manifestement, nous allons entamer la deuxième partie de notre bulle libertine, pas forcement en fonction du scenario que nous avions tous quatre prévu ; mais s’il est une variable qu’il est nécessaire d’intégrer dans le libertinage, c’est bien l’adaptabilité. Alain est suivi de Catherine et Marie, Henri et moi à la suite, et Joyce ferme la marche ; Maîtresse Joyce, devrais-je dire. Certes, elle ne doit pas mesurer plus d’un mètre soixante-dix, mais elle est perchée sur des talons d’au moins dix centimètres. Elle est magnifique avec sa robe fuseau fendue jusqu’à l’aine laissant dévoiler au gré des marches une très belle dentelle. Afin de l’assurer, nous mettons fort galamment nos épaules à sa disposition au cas où elle viendrait à faire un faux pas… — Rassurez-vous, Messieurs : je connais chacune de ces marches par cœur, et je peux même vous confier que c’est dans ces caves que j’ai connu mes émois de femme les plus torrides. D’ailleurs, nous allons vous les faire visiter avec Maître Al. Avec Henri, nous nous retournons : Joyce nous regarde avec un sourire carnassier. D’une main assurée, elle attrape le paquet d’Henri, se rapproche de son oreille en ...
    ... lui serrant les couilles et déclare : — J’ai cru comprendre que c’est toi qui as perdu ; je vais donc commencer par toi. Puis, à mon oreille : — Tu as intérêt à assurer : ma chatte et mon cul sont en feu, et j’aime me faire limer pendant des heures ! Nous sommes au milieu de l’escalier, les autres ont continué leur chemin. — Messieurs, poursuivons. Nous arrivons au bas de l’escalier. Une porte est ouverte ; nous la franchissons. Nos compagnes sont là à parler avec Alain, qui reprend : — Ce domaine est dans la famille de Joyce depuis 1452, l’année où Gutenberg mit au point ce qu’on appelle l’imprimerie ; il s’est transmis de génération en génération, et notre fille – je l’espère – fera de même. Comme vous le savez, je suis amateur d’Histoire, aussi ai-je pu avec Joyce retrouver une grande partie de la généalogie de la famille. Et lors de travaux dans le grenier, je suis tombé sur une cache qui m’a appris l’existence de ce souterrain et l’accès au restaurant où nous étions. Cet établissement ayant fait faillite, et notre fille et son mari ayant terminé leurs études à l’École d’applications hôtelières de Lausanne, nous nous sommes portés acquéreurs via la SCI familiale. Les enfants se sont occupés de l’établissement ; avec Joyce, nous avons visité ces souterrains, nous les avons tous identifiés et répertoriés. Pour vous repérer, vous avez au plafond un balisage-type randonnée ; et comme nous tenons à nos invités lorsque nous faisons des parties de cache-cache, nous allons vous ...