1. Le restaurant, et l'imprévu


    Datte: 17/05/2019, Catégories: 2couples, fbi, hbi, couplus, extraoffre, hépilé, fépilée, fsoumise, hsoumis, photofilm, policier,

    ... Messieurs-dames ? Nous acquiesçons. Ils sont servis avec des mignardises. Le café terminé, nous nous apprêtons à nous lever avec Henri pour faire chauffer la Carte Bleue lorsque le maître d’hôtel revient vers nous. — Monsieur et Madame de Valmont souhaiteraient que vous les rejoigniez dans le petit salon pour une coupe de champagne. Nous nous regardons, interpellés : je reconnais le nom des propriétaires du gîte, et c’est avec circonspection qu’accompagné de Marie et de nos amis je rejoins le petit salon. — Bonsoir ; merci de venir jusqu’à nous. Nous vous avons reconnus, et nous avons souhaité avec Jocelyne de vous proposer de vous joindre à nous. Il est vrai que vous venez chez nous régulièrement depuis maintenant un an, mais nous n’avons pas pris le temps de réellement faire connaissance, alors que vous êtes nos hôtes.— Nous sommes très touchés par votre attention ; permettez-nous de vous présenter nos amis bordelais qui visitent la région, mais que nous pouvions héberger : Catherine et Henri DXxxxxxx. J’avance sur des œufs en énonçant des banalités, ne sachant pas quelles sont les intentions du couple. — Vous avez manifestement l’air de vous plaire chez nous, me dit-elle en me tendant son smartphone, si j’en crois vos activités de cet après-midi ; regardez donc… Elle appuie sur la touche « play » de la vidéo en attente de lecture et surenchérit : — Nous avons beaucoup aimé vos performances ! Une sueur froide me coule dans le dos : le couple sait tout de la nature de nos ...
    ... ébats ! Je regarde : il s’agit d’une prise de vue du jacuzzi. Cela reste soft ; il est vrai que nous avons fait une petite levrette dans l’eau, les filles l’une en face de l’autre se massant la poitrine, et nous en train de les besogner. La caméra est très éloignée, on ne nous reconnaît pas ; ce n’est pas plus mal. Et de poursuivre avec un clin d’œil : — Vous auriez pu nous en parler avant…— Les us et coutumes libertins se partagent à coup sûr, renchérit Catherine ; maintenant, il semblerait qu’il n’y a pas d’ambigüité, si je ne m’abuse. Alain prend la main de Catherine et la porte à ses lèvres en lui déclarant : — Sachez, Madame, que nous serions mon épouse et moi-même heureux d’abuser et de nous amuser de vous car je vous avoue avoir inondé le calice de Joyce lors de vos prestations dans le jacuzzi. Et, se retournant vers Marie, il ajoute : — Ce compliment vaut également pour vous, chère Madame ; vous fûtes éblouissante, et je me fais d’avance une joie de me régaler de vos charmes, si bien sûr vous acceptez que nous vous rejoignions tous les quatre. Jocelyne, de son côté, n’est pas restée inactive ; il est vrai que nous l’enserrons par la taille, qu’elle a posé ses mains sur nos entrejambes et qu’elle nous embrasse à tour de rôle. Nous reprenons nos esprits et trinquons à cette nouvelle complicité. — Nous avons nos habitudes dans ce restaurant, d’autant plus que – vous ne le savez pas – ce sont notre fille et notre gendre qui l’exploitent… Soudain, une déflagration retentit, ...