1. L'amour au boulot; - Partie 1.


    Datte: 17/05/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    Première partie. Pour commencer, laissez-moi me présenter. Je me nomme Bernadette Durant, j’aurai 39 ans à la fin de l’année. Avec une taille de 1, m77, je suis plutôt grande pour une femme de ma génération. Brune à la peau mate de par mes origines latines, j’ai de longs cheveux d’un noir d’ébène qui la plupart du temps sont relevés en un chignon strict pour plus de facilités. J’ai une poitrine quelque peu opulente ( un bon 90 C ) ronde et ferme qui attire les regards des hommes. Ma taille s’évase sur des hanches que je trouve un peu larges, mais avec deux grossesses, cela n’a rien d’anormal. Je suis divorcée et, ayant eu la garde de mes deux fils, j’ai vécu seule de longues années pour me consacrer entièrement à eux et à ma carrière. Je suis chargée des relations extérieures d’une grande entreprise située dans le Quartier de la Défense ce qui fait que je suis assez libre de mes horaires et de ma présence au bureau. Je vis depuis deux ans maintenant avec Jean-Louis. Il a mon âge. C’est un copain de lycée mais nous nous étions perdus de vue à la fin de nos études. Ingénieur agronome, il était parti à Madagascar au titre de la coopération pendant dix ans et ce n’est que fortuitement que nous nous sommes retrouvés : au centre de Paris, nous cherchions tous les deux un taxi, lui pour aller au Ministère de l’agriculture et moi pour rejoindre La Défense. Evidemment, nous n’avons pas pris de taxi tout de suite car pour bavarder et renouer contact, nous sommes allés boire un café ...
    ... dans une brasserie toute proche où nous avons convenu d’un rendez-vous pour un repas au restaurant le vendredi soir suivant. Çà tombait bien car mes deux enfants passaient le weekend avec leur père. Tout au long du repas, nous échangeons nos souvenirs, nous confions ce que nous avons fait au cours de ces années écoulées. Revenu en France depuis une quinzaine de jours après une nouvelle mission en Afrique de l’Ouest, Jean-Louis me raconte les conditions parfois spartiates dans lesquelles il a accompli ses missions à Madagascar, comment les malgaches et autres africains, pleins de bonne volonté mais sans beaucoup de moyens, arrivent à obtenir de bonnes récoltes. Il insiste aussi beaucoup (en se désolant de cette situation) sur les multinationales de l’agroalimentaire qui spolient les indigènes des bonnes terres et exploitent cette main d’œuvre qui n’a plus de terres à cultiver à son profit ! Sans avoir bu excessivement au cours du repas, l’ambiance de ces retrouvailles dérive peu à peu sur une conversation plus légère. Je taquine Jean-Louis sur ses éventuelles amours avec des belles indigènes et lui me fait en retour une cour discrète faite de flatteries sur mon élégance, ma silhouette. Bref nous nous sentons bien ensemble alors qu’au temps de nos études, nous n’avons été que de bons copains. Sous la table, je sens ses genoux chercher le contact avec les miens, ses pieds emprisonner une de mes chevilles… si bien qu’au lieu de nous séparer, je me retrouve dans sa chambre d’hôtel ...
«1234»