1. L'amour au boulot; - Partie 1.


    Datte: 17/05/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... dans le XIIème arrondissement. L’un et l’autre nous savons ce qui va se passer et quand Jean-Louis me prend dans ses bras, je me colle à lui de tout mon corps et nous échangeons un baiser torride qui n’en finit pas. Sans que nos lèvres se quittent, nous nous déshabillons fébrilement avant de basculer, totalement nus, en travers du lit. Il y a si longtemps qu’un homme ne m’a pas prise, que c’est sans aucune pudeur que je me livre aux assauts de Jean-Louis, qui, placé au dessus de moi m’éperonne littéralement avec sa bite dure comme du bois. Avant de nous endormir, nous faisons l’amour deux fois et au réveil, en milieu de matinée, nous remettons le couvert pour une étreinte plus tendre et câline. Finalement, je ne reviens chez moi que le dimanche en milieu d’après-midi, fourbue mais heureuse : Il y a si longtemps que je n’ai plus fait l’amour et ce ne sont pas les séances d’onanisme avec des godes qui pouvaient me satisfaire, moi qui ai toujours aimé les choses du sexe depuis qu’un copain de vacances avait pris mon pucelage l’été de mes 17 ans. Quelques semaines plus tard alors que nous nous sommes revus à plusieurs reprises, je reçois sur mon téléphone portable ce message de Jean-Louis : • Caresse tes seins et ta chatte et vas te faire jouir dans les toilettes ! Je vais en faire autant en pensant à toi ! Au cours de nos rencontres, j’avais découvert que Jean-Louis est un coquin, libertin, quelque peu dominateur et ce message ne m’étonne guère car il m’a libérée de certaines ...
    ... inhibitions qui freinaient ma libido : l’intimité préservée de ma chambre était un domaine secret. Je m’empresse d’aller dans le cabinet de toilette attenant à mon bureau et je commence à me caresser. J’ouvre la veste de mon tailleur-pantalon puis glissant une main dans l’échancrure de mon chemisier, je titille les bourgeons de mes seins. Waouh ! Pensai-je en moi-même, je suis si excitée qu’ils sont déjà sortis. Mon autre main descend caresser mon pubis par-dessus le tissu du pantalon et du string. J’ai chaud et bientôt cela n’a plus suffi. Je vais directement au contact de ma vulve que je trouve inondée de cyprine. Aïe ! Mon portable sonne ! C’est Jean-Louis : • Je veux t’entendre jouir ! Je réponds que je reste en ligne avec le haut parleur branché. Et aussitôt je reprends ma caresse et je suis de plus en plus excitée, si bien qu’il ne faut pas bien longtemps pour qu’une jouissance démentielle éclate dans mon ventre. Alors que je ne me suis même pas pénétrée, je pousse un feulement sourd et je reste comme tétanisée pendant quelques minutes. Jean-Louis m’ordonne alors : • Bravo ! J’espère que c’était bon ! 20 heures ce soir à mon hôtel ! Sans string et sans soutif ! Et nous coupons la communication. Après être repassée chez moi pour donner à diner à mes fils et les directives pour la soirée, je m’apprête pour me rendre au rendez-vous fixé par Jean-Louis. Une douche rapide, un maquillage de soirée pas trop appuyé, je choisis dans ma garde-robe la tenue que je vais mettre : une ...