1. L'amour au boulot; - Partie 1.


    Datte: 17/05/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... jupe droite noire un peu serrée sur les hanches qui met bien en relief le galbe de mes fesses et qui s’arrête un peu au dessus des genoux, un sweatshirt ivoire moulant au décolleté en rond qui découvre un peu mes épaules bronzées et pour finir je choisis une veste dépareillée à large encolure d’un rouge vif et qui ne ferme que par une cordelette réunissant deux boutons. Quand je me vois dans le miroir, je ne peux m’empêcher de penser qu’en quelques semaines, je me suis libérée d’un carcan de femme sérieuse et posée. Jamais je ne serais sortie seule dans une tenue aussi provocante ! Avant d’enfiler la veste, je m’aperçois que les bourgeons de mes seins font un relief très visible sous le tissu mais désormais Louis me domine, il me conduit dans des sentiers que j’ignorais. A l’heure dite, un taxi me dépose devant l’hôtel et je gagne directement la chambre de Jean-Louis. Il m’attend debout au milieu du coin salon, la main gauche négligemment glissée dans la poche et un petit sourire aux lèvres. Il est vêtu d’un pantalon et d’un pull léger qui moulent son corps comme une seconde peau laissant distinguer ses pectoraux et abdominaux puissants et à l’entre-jambes la bosse de son sexe : • Stop ! Montre-moi ta chatte ! Je m’empresse d’obéir en faisant remonter le bas de ma jupe jusqu’à découvrir ma toison brune. Jean-Louis commande à nouveau : • Bien, maintenant le haut ! Montre tes seins ! Je déboutonne ma veste que j’ôte et je fais glisser l’échancrure de mon sweatshirt pour ...
    ... découvrir ma poitrine. Mes tétons sont dressés au point que si je les touche, je vais avoir en même temps de la douleur et du plaisir. Mon amant approuve : • C’est bon, tu as obéi à ce que je demandais ! Nous allons diner légèrement ensuite je t’emmène là où j’en suis sur, tu n’es jamais allée. Je suis intriguée car Jean-Louis ne m’a parlé de rien lors de nos échanges téléphoniques ou par courriels. Je trouve cependant que les propos qu’il me tient sont un peu chauds, mais au fond de moi, je me sens flattée qu’un homme me désire à ce point. Vers 23 heures, nous quittons l’hôtel en taxi et je suis intriguée par les indications données au chauffeur qui nous dépose devant une porte cochère Rue d’Argenteuil. Je ne vois pas trop ce que nous venons faire à cette heure dans un tel endroit mais Jean-Louis semble connaitre. Il sonne à l’une des portes latérale qui s’ouvre aussitôt. Nous entrons dans un couloir faiblement éclairé de petites lampes de couleur rouge et violette et j’entends de la musique. Mon compagnon me tient fermement par le coude droit et me pousse en avant et, après avoir passé une seconde porte, nous débouchons dans un bar où seule la partie réservée aux deux serveuses est bien éclairée. Le reste est dans une pénombre avec quelques points de faible luminosité. Tout en me guidant la main droite sous mon coude gauche, Jean-Louis me dit à l’oreille : • Viens, je vais te faire découvrir un bar libertin ! Je suis convaincu que tu ne connais pas ce genre d’établissement. ...