1. La voisine du dessous


    Datte: 18/05/2019, Catégories: fh, fplusag, frousses, voisins, grosseins, poilu(e)s, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, Oral nopéné, prudes,

    Tout va pour le mieux ! Ma copine et moi venons de rompre, ennuyés l’un de l’autre. Il y a un mois, j’ai pris possession d’un beau deux pièces, confortable. Je suis plutôt satisfait de la déco : j’ai tout refait à mon goût et mon appartement correspond tout à fait au bientôt-trentenaire que je suis. L’immeuble est bien situé, mes voisins ont l’air charmant et je m’efforce d’entretenir avec eux de bons rapports, malgré ma timidité. Je la rencontre parfois dans l’escalier, sur le pas de sa porte. Très discrète. J’ai pourtant remarqué que c’est une belle femme : elle a de longs cheveux roux ramassés en un chignon très correct, une peau très claire, presque laiteuse, de grands yeux bleus que je n’ai jamais vus maquillés. Elle est très bien faite mais porte des tenues plutôt ternes, ses longues jambes à peine dessinées par des chaussures très classiques à talon très court, des fesses qui perdent tout intérêt, glissées dans des jupes grises ou bleues tombant au genou. Sa taille que l’on devine sous des gilets très sages semble bien tournée. Malgré tout, elle ne peut dissimuler une poitrine lourde, opulente dont la sensualité contraste singulièrement avec son allure générale. Mes nombreuses tentatives (lamentables peut être) pour engager la conversation se soldent invariablement par un sourire aimable qui éclaire les traits fins de son visage, magnifié par la quarantaine. Un soir d’août, je la trouve assise sur les marches qui mènent à son étage (juste au-dessous du mien). Un peu ...
    ... distrait, engourdi par la chaleur, le souffle un peu court (les escaliers sont raides !), je la gratifie d’un « bonsoir » tout à fait neutre… Quelques marches plus haut, je me ravise et me fends à tout hasard d’un machinal : — Tout va bien ?— Non… Enfin… Je ne sais plus quoi faire… mes clés sont perdues… mon propriétaire est à 800 kilomètres d’ici… J’avais laissé un double de mes clés au concierge mais je lui ai repris pour les laisser à ma fille qui passe me voir souvent… Vous l’avez peut être déjà croisée ? … Je sais que je devrais faire intervenir un serrurier… Une grande jeune fille, brune… Non ? … Mais bon… Les tarifs de nuit… Vous me direz, de nuit, il n’est que 19 h 30… Les tarifs de nuit sont prohibitifs ! S’il ne s’agissait que d’ouvrir la porte, mais là ! J’ai eu mon frère au téléphone qui m’a conseillé d’attendre demain, il est bien gentil mais je ne vais pas passer la nuit ici ! C’est stupide vraiment, ça fait trois heures que je les cherche… je suis persuadée que je les ai jetées avec mon repas ce midi, bien sûr le resto est fermé ! Je reste un moment ébahi d’entendre autant de mots de sa part. Elle est manifestement à bout de nerfs et parle avec une volubilité incroyable. Abasourdi, je propose très délicatement, la voix entrecoupée par les petites inspirations que je prends pour reprendre mon souffle après les quatre étages : — Ben… Euh… Si vous voulez attendre chez moi, vous serez mieux qu’ici ! Cela a pour effet immédiat de la faire taire, sur la défensive, elle ...
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