1. La voisine du dessous


    Datte: 18/05/2019, Catégories: fh, fplusag, frousses, voisins, grosseins, poilu(e)s, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, Oral nopéné, prudes,

    ... décline poliment mon invitation et s’apprête à mettre fin à la conversation avec l’un de ses sourires polis… J’entreprends de bégayer, comprenant qu’elle doute que mes intentions soient tout à fait convenables (elles l’étaient pourtant !) : — Non ? Enfin, comme vous voulez…— Je vais aller me reposer à l’hôtel, je crois, dit-elle en amorçant un sourire… … qui la quitte rapidement tandis qu’elle jette un œil atterré à sa porte close… — Euh… Votre portefeuille est chez vous ?— … Quelle horreur ! dit-elle, pour elle-même.— Je peux vous prêter un peu d’argent… Me mordant les lèvres d’avoir commis une nouvelle maladresse. D’un sourire, elle me congédie… Descendant trois-quarts d’heure plus tard pour chercher mon courrier, je la croise à nouveau, contemplant son téléphone, dont la batterie est à plat, manifestement. Timidement : — Je vous assure, si vous voulez monter un instant… N’ayant sans doute plus la force de sourire, elle accepte d’un souffle et me suit… Une bonne partie de la soirée se déroule en une discussion embarrassée, ponctuée de longs silences. Je trouve ce soir-là quantité de choses à faire pour m’arracher à ces longs silences, très pénibles. Il se fait tard et elle n’a trouvé aucune solution : — Je vais me décider à appeler un serrurier, je crois… Je… je peux… ?— Oui ? Emprunter mon téléphone ?— Merci. Elle appelle, fait très rapidement une grimace de désespoir… — Merci… Il sera là dans deux heures, ils sont surchargés… Détournant les yeux, je répète par pure ...
    ... politesse : — C’est vraiment comme vous voulez, mais je peux tout à fait vous laisser mon clic-clac, ça ne me dérange absolument pas ! Je suis très étonné qu’elle accepte. Je m’efforce de me montrer prévenant et lui apporte une serviette de bain. Quand la porte de la salle de bains se referme, je laisse échapper un soupir de soulagement, pas mécontent à la perspective de pouvoir gagner mon lit… rapidement. Épuisé, je me laisse retomber dans le fauteuil et laisse vagabonder mon imagination, je me prends à l’imaginer complètement nue. L’exercice n’est pas désagréable : si elle ne fait rien pour ça, cette femme est tout de même attirante… De fil en aiguille, je me lève, déambule, mes pas me mènent devant la porte de la salle de bains… Un peu honteux, je finis par jeter un coup d’œil prudent par la serrure, elle se tient au fond de la pièce, à côté de la baignoire. Je me penche à nouveau : elle ajuste la température de l’eau. Je la vois de côté, entièrement nue, je reste un moment fasciné par ses deux seins, laiteux, magnifiques, énormes, se balançant au gré des mouvements de ses bras vers les robinets. Mon regard s’attarde sur ses fesses, superbes en vérité, plantées bien haut, un peu larges mais rebondies. Quand elle entre sous la douche, je vois tout à coup une superbe toison rousse qui semble s’étaler sur l’intérieur de ses cuisses et le bas de son ventre… Cette même toison couvre ses aisselles, qu’elle découvre en levant le bras laissant glisser vers le haut l’un de ses seins ...