1. La voisine du dessous


    Datte: 18/05/2019, Catégories: fh, fplusag, frousses, voisins, grosseins, poilu(e)s, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, Oral nopéné, prudes,

    ... contre l’autre. Je m’écarte, pas très fier de ma prestation mais le jean déformé par une superbe érection. J’emploie toute mon énergie à m’en débarrasser et à sembler naturel pendant les quelques instants que je passe encore en sa compagnie avant que nous ne nous couchions chacun de notre côté. Quand je m’éveille le lendemain et ouvre doucement la porte du salon, je la trouve toute habillée, prête à partir : — Bonjour, je ne vais pas vous déranger longtemps, ma fille sera là d’ici une heure ! Alors qu’avec un dernier remerciement elle s’apprête à sortir, j’ai la présence d’esprit de lui proposer un petit déjeuner et fais l’offusqué quand elle refuse. Je me permets de m’asseoir à côté d’elle sur le canapé et nous discutons mollement quelques temps en buvant un café. Je l’examine à la dérobée et l’imagine cherchant désespérément à laisser sa cuisse effleurer la mienne. Je déplace insensiblement ma hanche vers la sienne, m’efforçant de garder le fil de la conversation. Au terme de longues minutes de pitoyables contorsions infructueuses, je me décide enfin à reconnaître que mon manège est ridicule. Le dernier coup d’œil que je lui lance, alors qu’enfin tous mes muscles jusqu’alors tendus vers son corps se relâchent, me conforte : elle est bien trop mûre, prude et timide pour répondre ! Autant dire que je suis électrisé par le contact de son genou contre le mien puis par la sensation de sa cuisse qui s’écrase mollement contre la mienne. Je tends les lèvres, elle a un mouvement de ...
    ... recul mais finit par m’embrasser maladroitement. Au contact de ses lèvres, l’image de son corps nu fait tressaillir mon bas-ventre. Quand j’essaie de caresser sa poitrine, elle me repousse, se lève, bredouille quelques excuses et gagne la porte, sort et descend les escaliers… Après le repas de midi, je n’y tiens plus… Quitte à tout foutre en l’air… Je descends d’un étage et sonne chez elle. Elle entrouvre sa porte, m’explique en quelques mots comment elle a retrouvé ses clés, évitant soigneusement mon regard ; quand elle le croise enfin, elle rougit instantanément et laisse la porte à demi-fermée. Bien décidé à en finir, je m’enhardis : — Je viens terminer mon café ! Je vais jusqu’à faire mine de pousser la porte pour entrer. À ma grande surprise elle s’efface, m’offre en murmurant une place dans un large sofa, m’annonce en évitant toujours mon regard qu’elle va préparer le café : — Merci oui, un grand bol s’il vous plaît ; je n’ai pas pu terminer celui de ce matin. J’entends bientôt le café couler et j’ai le plaisir de la voir quelques minutes plus tard s’installer à côté de moi et entreprendre de toucher ma cuisse de la sienne. Profitant de mon avantage, repoussant le bol de café sur la table basse devant moi, j’empoigne à pleines mains sa superbe poitrine lui arrachant un gémissement de plaisir. Je pétris ses seins à travers le coton, profitant un moment de sentir contre mes paumes bien pleines, à travers le tissu, la chaleur de sa peau. N’y tenant plus, je la jette contre ...