Offert à mon admirateur
Datte: 18/05/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
... l'intensité. Il plaça la chaînette dans ma bouche, ce qui eût pour effet de tirer les pinces vers le haut, accentuant encore la torture. Finalement, il s'installa tranquillement dans le canapé et ouvrit son livre, un classique du Marquis de Sade : Les Cent-Vingt Journées de Sodome. Lucas était un garçon très cultivé, et je ne doutais pas que ce ne fût la première fois qu'il le lisait, à en juger par sa bibliothèque faramineuse. Les trois premières minutes de mon supplice passèrent sans grande difficulté vis à vis des haltères, cependant les pinces me tiraillaient toujours le sein. Mes tétons étant la partie la plus sensible à l'excitation de mon corps, il en ressortait un intriguant mélange de douleur intense, et de plaisir sans limite. Mon corps entier frémissait sous la morsure de ces mâchoires affamées de chair humaine. Soudain, sans un mot, Lucas ferma son livre et se leva. Il s'approcha de moi, et se plaça derrière moi. " - Comment te sens-tu ?" J'allais ouvrir la bouche pour répondre, mais me rappelai la chaînette que je ne devais faire tomber sous aucun prétexte. Il rit en me voyant face à ce dilemme : lui répondre et faire tomber la chaînette, ou l'ignorer au risque de le fâcher. " - Bon, eh bien puisque tu ne réponds pas, j'en déduis que c'est facile pour toi." Avant même de finir sa phrase, il commença à me palper fermement le cul, m'envoyant une fessée de temps à autres. J'avais un mal fou à ne pas broncher, à rester bien droit, bien cambré, bien offert. Il ...
... joua avec moi quelques minutes, puis retourna s'asseoir et rouvrit son livre. Les minutes passaient, et la sueur commençait à perler sur mon corps. Mon torse commençait à luire sous l'effort. Je crois que cette vision lui plut, car il baissait son livre de temps à autres pour m'observer en se caressant l'entrejambe. Me savoir en peine l'excitait, et le savoir excité m'excitait. Au delà de mon calvaire physique, j'étais aux anges de me savoir l'objet de l'excitation de Lucas. C'était cela : un simple objet d'excitation, rien de plus. Les divagations de ma psyché rendaient le supplice plus vivable, bien que mes bras furent engourdis au point que je ne les sentais même plus. J'imaginais la récompense qu'il allait m'offrir. Je l'imaginais jouir de ma vertu à la manière du Duc de Blangis, jouissant de l'innocence de la jeune Sophie. Au bout d'un moment, inquantifiable, cela me parut une éternité, Lucas attrapa la chaînette et tira dessus. Je n'en pouvais plus, impossible pour moi de tenir plus longtemps face à cet assaut final. Je lâchai les haltères et m'écroulai en avant, dirigé par la tension que Lucas exerçait sur les pinces. Haletant, dégoulinant de sueur, je réalisai que j'avais failli à ma tâche. J'avais abandonné ma position. " - Je suis vraiment désolé je... - Ne t'inquiètes pas. Je l'ai fait exprès. Tu as tenu bien plus longtemps que ce que je pensais, aussi tu as mérité ta récompense." L'incompréhension était totale. Cependant, devant la réaction positive de Lucas, je ...