Offert à mon admirateur
Datte: 18/05/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
... préférais ne pas discuter. Je tentais de rassembler mes esprits tandis que, comme à son habitude, il prenait ses clichés de la situation. Il ôta ses souliers, et se rassit. " - Tu as mérité le droit d'embrasser mes pieds. - Je... - Si tu avais tenu plus, tu aurais eu une plus belle récompense. Ne discute pas." Résigné, je m'avançai à quatre pattes, et commençai à embrasser ses pieds. N'étant pas fétichiste des pieds, je dus cependant admettre que les siens étaient divinement bien formés. Pas un poil ne venait entacher cette magnifique sculpture. J'embrassai langoureusement l'objet de ma récompense, me prêtant au jeu, allant parfois jusqu'à les lécher. Pendant ce temps, Lucas avait repris sa lecture. Finalement, il déclara : " - C'est assez pour le moment. Je vais me laver, tu as quartier libre jusqu'à nouvel ordre. Tu n'as évidemment ni le droit de te rhabiller, ni le droit de retirer la ceinture qui est autour de ton cou. Tu n'as pas non plus le droit de te masturber, mais il me semble que cela coule de source. Repose-toi, car quand je déciderai que ton quartier libre sera fini il faudra être prêt sur le champ, je te donnerai l'ultime leçon de la journée, la plus importante." Il se leva et alla s'enfermer dans la salle de bain, prenant bien la peine de verrouiller la porte. J'étais partagé entre la déception d'être ainsi abandonné par Lucas, et le soulagement de pouvoir reposer mon corps poussé dans ses derniers retranchements par l'exercice physique. Ne sachant que faire, ...
... je décidai de me replonger dans l’œuvre du Marquis, que Lucas avait, peut-être délibérément, laissée sur le canapé. J'avais beaucoup de mal à me concentrer sur la lecture, mon esprit était accaparé par cette "ultime leçon" dont il avait parlé. Quelle pouvait bien être cette leçon ? Lorsque le verrou de la salle de bain s'ouvrit, je posai le bouquin et me remis en position de soumission comme préconisé. Lucas passa devant moi, simplement vêtu d'une serviette autour de la taille, et alla s'enfermer dans sa chambre. Lorsque je compris qu'il ne revenait pas vers moi, le sourire que j'arborais s'effaça net, laissant place à une expression d'intense déception. Une heure s'écoula, peut-être plus. Et finalement, Lucas sortit de la chambre. Il était tout à fait nu, pour mon plus grand plaisir. Ce que je n'avais pas remarqué au premier abord, trop concentré sur sa silhouette dénudée, c'est qu'il tenait dans une main une cordelette, et dans l'autre un tube de lubrifiant. C'est alors que je compris. Tout mon corps commença à fourmiller. De toutes les fantaisies dont mon imagination perverses m'avait donné l'aperçu, la sodomie était celle qui m'excitait le plus. Combien de fois m'étais-je introduis des doigts dans le fondement, imaginant qu'il s'agissait de phallus téméraires... M'initier aux plaisirs de Sodome était de loin le plus bel honneur que Lucas eut pu me faire. Lucas se posta sèchement devant moi, et sans tergiverser. " - J'imagine que tu sais maintenant quelle sera ta dernière ...