Les fourberies de Maya
Datte: 19/05/2019,
Catégories:
fh,
extracon,
alliance,
lunettes,
vacances,
campagne,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
intermast,
Oral
... un benêt. Paf ! Moi je ne dors toujours qu’avec un tee-shirt, mais pour cette situation exceptionnelle j’ai donc gardé mon caleçon. Tout en se marrant de mon audace, elle a un rapide mouvement de recul et se met de l’autre côté du lit en attirant les draps sur elle pour protéger son intégrité et ses formes. « T’es pas gonflé toi ! Je viens de te dire non, tu n’as pas compris ? Et si quelqu’un venait ? Il est chié ce mec ! Déjà il me mate lâchement la foufoune en se rinçant l’œil pendant que je dors, ensuite il se repaît de mes seins en cachette et en plus le voilà qui débarque dans mon plumard ! Allez ouste, tu dégages ducon ! » Elle lutte contre moi pour me virer de son lit, à coups de pieds et à coups de poings. Pour me protéger, je me mets à la chatouiller un peu partout par-dessus sa chemise de nuit. Ses chouettes doudounes surtout. « Non, pas mes seins ! » Elle est complètement écroulée de rire… Elle me tire les cheveux. Malgré ma résistance elle parvient à se lever pour s’enfuir, trébuche et se vautre à donf à plat ventre sur mon lit. Je la retiens par le bas de sa chemise de nuit… Au moment où elle s’écroule de tout son long, le tissu m’échappe des doigts et remonte d’un coup tel un élastique jusqu’au milieu du dos. Au-dessus de ses fesses. Elle m’offre alors une vue imprenable sur son galant et vénérable popotin… « Oh quel cul Maya ! Quel beau petit cul tu as ! Un mirage my god ! » « Pauvre con ! » Comme tout à l’heure avec ses seins, je trouve piquant qu’elle ne ...
... s’empresse pas de le cacher. Elle respire profondément plusieurs fois en toussant. « Quelque chose ne va pas Maya ? » « Si tout va bien, mais en tombant j’en ai eu le souffle coupé ! » « Et moi donc ! Sans mentir, si le fondement que tu concèdes à ma contemplation se rapporte à ton pinacle, tu es le Phénix des hôtes de ces lits. » Elle vérifie tranquillement les branches de ses lunettes, les tord un coup par-ci un coup par-là et bougonne en riant parce qu’elles ne sont plus droites… « Et si je peux me permettre, à propos de cet auguste derrière, non, je veux dire de cet illustre postérieur qui trouble séant mes yeux… Maya je vous déclare solennellement que vous êtes aussi belle de face que de fesses ! » Elle rabat nerveusement sa chemise de nuit, se retourne et s’assied. Dubitative, elle remet ses cheveux et sa chemise de nuit en place et croise les bras. Soudain, furieuse et rouge comme une tomate, elle revient dans son lit et s’assied à mes côtés pour tenter de me virer. « Dehors ! Le boudin te dit dehors ! Alors ? Tu es content, tu l’as vu mon cul ? » « Oui ! On pourrait dire que tu me l’as montré aussi ! » « T’en es pas mort ? » J’esquisse un geste. « Ho non Fabian, bas les pattes, on ne touche pas à Maya ! Tu déconnes ? Mais tu me pinces, tu me fais mal ! Oh non, pas là ! Sale dépravé ! Tiens j’entends quelqu’un qui monte… Aïe ! Fabian, c’est tata Etiennette ! Aller l’homme ! Fous l’camp p’tit mec ! » Je ris de plus en plus en m’enfonçant dans le fond de son lit. Bien au ...