Les fourberies de Maya
Datte: 19/05/2019,
Catégories:
fh,
extracon,
alliance,
lunettes,
vacances,
campagne,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
intermast,
Oral
... chaud. Mm… Elle se calme un peu la mégère. J’ai su, mais beaucoup plus tard qu’Etiennette était effectivement montée… Sonnerie téléphonique oblige. « Maya la grenouille, tu sais très bien que nous sachant ensemble, Etiennette n’osera jamais ! Pas prude tata, pas cul serré ! Mais très polie. Quoique ? Aïe ! Et puis on ne fait rien de mal. Donc, oui, je l’ai vu et bien vu ton beau derche. Deux beaux ballons d’amour, joufflus, pansus, poupins ! Aïe ! Et puis, je n’ai pas volé l’orange mais, par en-dessous j’en ai vu l’écorce ! Bonne à éplucher ! Oh ? Mais le lit de madame à l’air vraiment douillet. Ouille ! Et madame, serait-elle aussi douillette que mignonnette ? » « Espèce d’obsédé sexuel, de perverti ! Arrête ! Ne me touche pas ! Fabian, non, arrête ne me touche pas je t’en supplie ! Je ne peux plus te supporter… Barre-toi ! Mais il est complètement jobard ce mec, complètement barje ! Je ne veux pas subir ta loi… C’est pas toi qui décides, c’est moi ! Tu vas te prendre une bonne tarte dans la tronche, t’ar ta gueule à la récré ! » Maya sait pertinemment qu’il y a eu très vite une attirance entre elle et moi. Mais pas véritablement une tentation physique, plutôt une connivence intellectuelle, un partage de la culture en général, un humour acidulé, des visions communes sur les choses de la vie… Par exemple, comme il est de tradition dans cette famille très aware, nous abordons sans aucune arrière-pensée ni faux-semblants les sujets relatifs à la sexualité ou au plaisir… Par ...
... exemple, elle me raconte, pince sans rire, que hiérarchiquement parlant, que ce soit de face ou de dos, une infirmière « hospitalière » doit toujours se situer sous le médecin ou le chirurgien. Au propre comme au figuré ! Rigolades ! Et ainsi de suite nous échangeons des regards, des petites prévenances, des gentillesses aussi. Elle s’est souvent confiée à moi, à propos de Walter, son compagnon, un Suisse Allemand bourru qu’elle a connu en croisière. Son homme est un peu coureur de jupons, toujours fourré au bistrot à picoler moult bières bavaroises avec ses copains ou alors « chez maman ». Elle se retrouve souvent seule et regrette parfois la brutalité de ses comportements. Il lui fait l’amour comme ça, pour lui faire l’amour et, par jalousie à son égard, il ne veut pas qu’elle prenne des gardes de nuit à l’hôpital… Ça ne fait rien, me dit-elle, car son béguin du moment est un jeune interne de jour, un monumental Camerounais taillé dans l’ébène et qu’elle est respectueusement très obéissante, surtout qu’il prépare gynécologie-obstétrique… Alors c’est touche-pipi dans l’ascenseur ou entre deux patients et travaux pratiques alter-mondialistes en chambre libre ! Moi, je ne raconte pas facilement mes histoires, ma vie, mes trucs. Il n’y a guère qu’avec Nattie et Maya que je suis plus expansif… Surtout avec Maya, psychologiquement plus proche de moi et à qui je révèle mes ébats avec sa sœur… Comment je l’initie, comment elle s’émeut, ses refus, ses préférences, mes audaces… En bonne ...