1. Les fourberies de Maya


    Datte: 19/05/2019, Catégories: fh, extracon, alliance, lunettes, vacances, campagne, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation intermast, Oral

    ... savais pas qu’elle avait un grain de beauté sur le côté, une mouche en bas de la fesse droite. Que c’est mignon tout ça, que c’est aimable ! Je froufroute en philosophant et en me disant que le vrai plaisir, c’est d’imaginer la jouissance, de l’envisager et de la retenir à l’infini avant qu’elle ne surgisse… J’aimerais bien qu’elle se remue un peu la belle-sœur, qu’elle s’étale, qu’elle s’étende, juste un léger écart, une petite offrande supplémentaire de ses trésors de femme et de ses secrets si jalousement emmaillotés… Oui, après je ferai contrition. Il faut dire qu’étant donné l’encombrement des lits, l’espace vital de la chambre est si limité qu’il est difficile de créer une atmosphère plus intime. En effet, entre les deux sommiers de cent vingt de large, il y a un passage très étroit qui ne laisse passer que les jambes d’une personne à condition qu’elle reste debout. Ou qu’elle se couche. Tandis que je régale mes instincts malicieux et que j’aiguise mes sens sous ses draps, j’attends d’elle un improbable mouvement sympathique ou une contribution lascive. Mes pensées s’acoquinent. Dans mon caleçon, dont le bouton du haut s’est décousu dans la nuit, ma férule du matin s’est vigoureusement transformée en bâton de berger. Je vais pouvoir pisser loin, cela épargnera le bout de mes chaussures. En plus elles sont toutes neuves. Il n’y a guère que celles des clowns… Chut, chut ! Maya bouge enfin… Ses cuisses s’éloignent l’une de l’autre, font d’abord une déviation infime puis ...
    ... se déploient impudiquement en mimant la position obscène des cuisses d’une grenouille avant qu’elle ne bondisse. Oui, pour exaucer mes vœux Maya m’offre une dégustation immorale de ses cuisses batraciennes si sensibles aux excédents de la luxure. De ventre en touffe, la voilà la jolie touffe, ventri, ventrou, ventrons la touffe, la voilà la jolie touffe de Maya ! Et son mini piment d’Espelette aussi… ! Cuisses sautées provençales ! Soudain, elle baille à grande bouche, elle coasse de la glotte, elle se décroche les maxillaires, elle dégage ses narines internes, elle referme ses cuisses, elle émerge de sa nuit. Maya s’éveille. « Fabian ? » J’ai vite fait de regagner ma place dans mon lit et l’air de rien, je prends la position du lotus évasé qui attend la fraîche rosée du matin et je fais comme si… Je dors. Ma tige solitaire très congestionnée repose bêtement sur mon ventre ! Zut, dans ma précipitation, elle s’est échappée par la braguette de mon caleçon sans bouton. Elle pointe. Tant pis, je n’ai plus le temps… Je fais semblant de dormir profondément. J’entends à nouveau les bâillements gracieux de Maya, des froissements de draps, des frappes amorties sur les oreillers… Elle susurre, elle coasse encore. « Il dort encore comme un bébé… » Tiens, elle se gratte sans doute le ventre. Elle attrape aussi la bouteille de flotte qui est par terre et boit un coup. Je suppose qu’elle fouine dans le tiroir après ses lunettes et qu’elle les remet. Oui elle les remet. Elle bâille encore ...
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