1. Les fourberies de Maya


    Datte: 19/05/2019, Catégories: fh, extracon, alliance, lunettes, vacances, campagne, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation intermast, Oral

    ... plus bruyamment. Puis, chut ! Chut plus de bruit, c’est la ronde de lit… Soudain mon matelas s’affaisse sous mon épaule gauche, furtivement. Elle a dû poser son coude sur le rebord de mon lit. Chut plus de bruit, c’est la ronde de lit… Tiens donc ? Mais ce sont mes draps qui se soulèvent à présent… ? C’est elle qui… Oui, je sens de l’air frais sur moi ! Un vent frisquet du matin qui souffle tout en haut de mon grand pin. Maya est en direct live dans mon reality-show. La fourbe ! Elle bredouille tout bas en allemand… « Oh ? Bitte schön ! » Oui, c’est elle et c’est ce que j’ai entendu ! Un murmure coupable, un chuchotis teuton étonné. Elle ne s’attendait sûrement pas à découvrir ma trique raide, nue et veineuse sortir oblique de ma braguette béante et la désigner du gland ! Elle insiste, elle se délecte la gueuse, elle contemple à son gré l’engin de levage et de sautage de son beauf. Dans notre situation si intime, qui confine à la provocation ou à la conspiration, j’apprécie, non sans ironie, de nourrir de si bonne heure, son imagination érotique et sa libido débridée. Je les sais déjà très fertiles pour soutenir ma tige. En serrant mes fessiers par saccades, j’effectue quelques contractions invisibles qui favorisent une courbette de bienvenue de sa part, accompagné par un mouvement d’acquiescement. Le bébé te salue bien ! « Oh ja, das wäre schön ! Quel vit ! Avec un tel pivot de la joie, la Nattie doit passer de sacrées soirées ! Hi, hi, hi ! » Je crois que je vais mourir ...
    ... de plaisir. J’entends qu’elle avale sa salive… Elle ne va pas faire le voyage pour rien die schön Fröschin Schwägerin… Feignant toujours un profond sommeil de veilleur de nuit, je plonge ma main à l’aveuglette dans le mitan du lit. La belle-sœur soulève davantage les draps. Alors je me la repère fastoche, je me l’accapare, je me la tâtonne, je me la relève droite, je me la bichonne royalement en me la râpant du bout des doigts. Maya déglutit bruyamment… « La gaule qu’il a le mec ! Au moins zwanzig centimètres, c’est nuit d’ivresse et matin bonheur ! » Il va falloir qu’elle arrête, je n’en peux plus. J’écarte les cuisses, j’enfouis affectueusement ma main au plus profond de mon caleçon, j’occupe les intervalles entre scrotum et épididyme, je me les regroupe et je me les butine sans vergogne. Je sens que Maya fait l’effort intense de ne pas s’esclaffer. Progressivement, je me remonte la paire en surface, je me les bricole pour les lui placer gaillardes et brillantes dans le champ de vision de ses quinquets, en pleine lumière sous ses sunlights… Autrement dit, je me gratte ostensiblement les couilles devant Maya ! C’est certain, elle va pouffer ! Non. « Vache d’orphelines ! Deux belles petites sœurs pour un jésus lyonnais ! Merdum de… ! Espèce de cochon va ! » Probablement médusée par la magnificence de ma hampe, elle susurre à nouveau… Avant qu’elle n’explose de joie, de honte ou de rire, je me manifeste. Je repose mes bagages, je rote et je pète comme un brutos, je crapote et ...
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