1. Les machinations de Laure (3)


    Datte: 19/05/2019, Catégories: Inceste / Tabou

    ... me faire plus jouir que n’importe quel autre type. Elle me prit par la main et me tira hors de la salle de bains. Elle remonta le couloir et passa devant ma chambre sans s’arrêter. — Où m’emmènes-tu ?, demandai-je. — Là où on sera plus à l’aise. Déjà, elle descendait l’escalier, un parfum de stupre dans son sillage. Elle alluma la lumière dans le salon tandis que j’en tirai les rideaux à la hâte : dans l’obscurité de la nuit, on nous aurait vus de la rue. Hello me poussa dans le canapé et s’installa à califourchon sur moi. Elle était tellement excitée qu’à peine posée sur ma bite, elle pressa du bassin de toutes ses forces et me plongea au plus profond d’elle. Elle se mit à jouir instantanément. Ses seins, juste au niveau de mes yeux, suppliaient ma bouche de les lécher. Maintenant qu’elle en était là, Hello ne s’arrêterait plus de bondir d’orgasme en orgasme : elle s’efforçait, cuisses bandées à toutes forces, de s’immobiliser pour goûter son plaisir tout à son aise, mais je ne lui en laissai pas le loisir. Je continuai d’aller et venir en elle, de viser son point G encore et encore, l’emmenant encore plus haut, encore plus loin. — Oh – la – vache !, cria-t-elle, alors que mes mouvements frénétiques nous faisaient lentement glisser du canapé jusqu’au tapis où nous continuâmes nos ébats avec une violence renouvelée. J’avais l’impression que, où que se posent mes doigts, sur ses fesses, sur ses reins, sur ses seins, sur ses lèvres, sur sa nuque, je touchai une zone érogène ...
    ... qui prolongeait son plaisir. Jamais je n’avais fait l’amour aussi bien que ça. C’est pour cela que je ne prêtai aucune attention au bruit de voiture qui s’arrêtait dans la rue, au bruit des pas qui approchaient du perron, au cliquetis de la serrure. Quand je m’en aperçus, il était trop tard : la silhouette de Laure, suivie de celle d’un homme en costume sombre d’à peu près mon âge, se découpait dans l’embrasure de la porte. — Hé... Hello ?, bafouilla l’homme. — Papa, haleta Hello qui avait tourné la tête vers les nouveaux venus, tu tombes à pic... oui, oui... encore... whoui ! Laure souriait avec une malice satisfaite. Son air de lutin la rendait encore plus ravissante que d’habitude. Déjà, abandonnant son blouson sur le canapé et ôtant ses bottines, elle marchait droit vers Hello et moi. — Eh ben !, s’exclama-t-elle, je ne t’ai jamais vue dans cet état-là, chérie ! — Ho, ton père, meuf, ton père... Personne ne m’avait jamais fait jouir comme ça... La vache... — Euh... Pourrait-on m’expliquer..., s’immisça l’homme. — Oui, et à moi aussi, ajoutai-je. Laure et Hello se regardèrent, se sourirent, et Laure déclara, tournant les yeux vers moi puis vers le nouveau venu : — Comment, vous n’avez pas compris ? Bon, l’autre jour, j’étais chez Hello et j’ai rencontré son père, Alain. — C’est moi, dit l’homme. — Ah ouais, au fait, compléta Laure, Alain, Franck, Franck, Alain. — Bonsoir monsieur, dis-je. — Bonsoir, répliqua l’autre, visiblement interloqué. — Donc !, coupa Laure, j’ai ...
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