Les machinations de Laure (3)
Datte: 19/05/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
Elle m’avait demandé de prendre une douche d’abord, et j’avais accepté. La précédant à travers la maison, je l’avais amenée jusqu’à la salle de bain dont je lui avais ouvert la porte. Elle entra et se dirigea droit vers la cabine de douche, et ouvrit le robinet. — Tu as du gel douche et du shampooing dans le présentoir, si tu veux. Et laisse la porte ouverte. Je veux te regarder. Hello me jeta un œil amusé. — Sérieux ? — Sérieux. Maintenant, qu’est-ce que c’est que cette histoire ? — Ah bon, tu ne me laisses pas prendre ma douche d’abord ? — Sûrement pas, dis-je en approchant une chaise de la cabine de douche avant de m’y asseoir à califourchon, coudes sur le dossier. Donc, repris-je, tu es de mèche avec Laure depuis le début. C’est elle qui t’a envoyée jusqu’ici ? — Evidemment, dit-elle. Elle risqua un orteil sous le jet d’eau vaporeux pour en contrôler la chaleur, trouva la température à son goût, et entra dans la cabine. L’eau qui ruisselait sur son corps traçait à la surface de sa peau des striures translucides, des itinéraires limpides aux embranchements nervurés. On aurait dit une feuille de chair. J’eus du mal à reprendre : — Pour me consoler de ce qui s’est passé plus tôt avec Milo ? — Elle te l’a dit, non ? — Donc tu es au courant de ce qui s’est passé là-bas ? Elle interrompit sa friction de gel douche pour me regarder. — Tu veux que je m’épile intégralement ? demanda-t-elle. — Hein ? Je ne sais pas, voyons, je... — Ecoute, tu as quelque chose de prévu ce soir ? ...
... — Non, mais... — Moi oui, mais je peux décommander. Tu as envie que je reste ? Je la regardais avec attention. Ses manières félines, sa grâce d’orchidée, me tournaient la tête. Si je n’y prenais pas garde, je serais une nouvelle fois en érection quand elle sortirait de la douche. Je crus plus prudent d’admettre : — Oui. — Alors, qu’est-ce que tu préfères ? Epilée, ou pas épilée ? — OK, épilée, dis-je. — Passe-moi un rasoir, du coup, tu veux bien ? Je me levai, farfouillais un instant dans la partie du placard réservée à Laure et y dénichais un rasoir jetable. Je le tendis à Hello. — Merci, dit-elle. Eh oui, je suis au courant, pour ce qui s’est passé cet après-midi. Je restais un instant silencieux à admirer la grâce avec laquelle elle levait un talon pour mieux ouvrir les cuisses et examiner son épilation. Le rasoir glissa, expert, sur la toison résiduelle. En quelques passages, pas un poil ne restait. Mais je vis bien qu’elle se donnait une contenance, au regard, soucieux sous son feint amusement, qu’elle me lança. Elle reprit la parole. — Franck. Elle employait mon prénom pour la première fois, et ce mot dans sa bouche me procura un curieux frisson de satisfaction. Elle continua : — Un gars m’a dit un jour : ce que tu fais avec plaisir, tu devrais pouvoir en parler sans honte. Elle posa le rasoir dans le porte-savon, se rinça une dernière fois, et sortit de la cabine. Je n’arrivais pas à détacher mes yeux de son corps, à réfléchir à autre chose qu’à ses courbes et aux ...