1. Les machinations de Laure (3)


    Datte: 19/05/2019, Catégories: Inceste / Tabou

    ... soudain de la chaise, n’essayant même pas de masquer mon érection. Cette salope me rendait complètement fou. Je m’agenouillai sur le sol de la salle de bains, le nez juste à la hauteur du fabuleux cul d’Hello, et j’entrepris de lécher avidement les dernières gouttes d’urine restées sur sa chatte, non sans m’aventurer sur le pourtour de son anus. Les mains posées à plat sur le miroir, elle haletait déjà. — Baise-moi bien, Franck. C’est comme ça que je resterai, tu comprends ? Ta captive. Et si tu veux que je réponde à tes questions, il faut que tu... Oh... Oh, la vache... C’est tellement bon, ce que tu me fais... Je venais de glisser mon index dans sa fente, pendant que mon majeur contournait son clitoris. Ma langue plongeait dans son délicieux petit anus. Elle le contractait au rythme de mes doigts, et se balançait d’avant en arrière, les deux mains sur le miroir, la tête baissée, suffocante. — Ho... Ho... Ho, merde, baise-moi ! Arrête de jouer avec moi, Franck ! Baise-moi avec ta bonne bite ! Mais c’était mon tour de la faire languir. Je continuai mes pourlèches aussi longtemps que je parvins à me contenir, et soudain je n’en puis plus. Mes doigts quittèrent sa chatte, contournèrent ses cuisses par les fesses, et je tendis les bras. Mes mains parcoururent l’arrondi des hanches, escaladèrent le ventre, saisirent les seins. Je me redressai alors de toute ma hauteur, et n’eus qu’à orienter mon bassin pour que ma verge tendue à se rompre pénètre la chatte trempée de Hello. Elle ...
    ... se renversa en arrière, sa main gauche abandonnant la glace pour passer autour de mon cou et m’enlacer. Je tendis les lèvres : Hello m’embrassa avec fougue. Je regardais, fasciné, le bas du miroir : s’y reflétaient, éclairés par la blancheur du meuble et du lavabo, nos sexes en plein coït, et je ne parvenais pas à détacher mes yeux de son mont de Vénus montant et descendant, la base de ma bite visible par intermittence au-dessus de mes testicules que j’avais rarement vus aussi gonflés, aussi rouges. Hello se cambrait à un point tel que je redoutai qu’une jouissance trop soudaine ne lui fasse mal. Crainte infondée : elle se mit à jouir avec une telle énergie que j’eus à peine le temps de lâcher ses seins pour saisir in extremis les jambes sous les genoux. Elle rejeta son autre main derrière mon cou, me maintint par la nuque, et plaqua son dos contre mon torse, se fiant à ma force pour la soutenir. — Whoui... Whouiii... Elle devait pourtant commencer à me connaître, parce qu’elle se força à se ressaisir. Je m’en aperçus à l’effort qui se peignit sur son visage alors qu’elle articulait à grand-peine : — Attends, retiens-toi s’il te plaît... Pose-moi... Avec tout le soin et la délicatesse que je pouvais, je la soulevai un peu plus haut. Ma bite sortit d’elle et se colla contre mon ventre. J’inversai le mouvement de mes bras et je posai Hello sur le sol de la salle de bains tandis qu’elle ajoutait : — Je veux toi. Pendant des heures. Tu t’en crois capable ? Montre-moi que tu peux ...
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