1. Les machinations de Laure (3)


    Datte: 19/05/2019, Catégories: Inceste / Tabou

    ... Hello et ma fille n’avaient rien vécu de tel, ni même d’approchant. Et dans cet instant, qui sembla durer des heures, et qui ressemblait à ce que doit vivre, mentalement, un être conscient à l’agonie, pour densifier ses derniers souffles et tirer le plus intense profit de ses dernières secondes, je me remémorai en une rapide synthèse toute la série des événements qui m’avait amené ici, ce soir, à éjaculer au fond du vagin de ma fille magnifique, à côté d’une jeune femme tout aussi magnifique qui venait d’arracher la jouissance à son père. Surtout, le souvenir de notre première union envahit le champ de ma conscience. Laure avait dix-huit ans passés de quelques semaines. Elle avait tardé à m’avouer qu’elle voyait un garçon. Elle éprouva plus de difficultés encore à me dire qu’il avait été son premier amant. Il fallut que je lui arrache la confession que ce jeune homme, fort maladroit, s’y était si mal pris qu’elle n’en avait conçu aucune satisfaction, ni surtout aucun désir de recommencer. Ses refus avaient ensuite précipité leur rupture. Laure, le cœur brisé, pleurait à chaudes larmes sur mon épaule, et je sentais combien sa mère aurait su, mieux que moi, la réconforter. Je sus combien son absence, à ce moment précis, ajoutait au chagrin de ma fille. Nous étions assis sur le lit de Laure, et entre deux sanglots, les yeux dans mon cou, elle m’avait dit : — Tu sais, Papa, le pire, c’est que je suis sûr que ça pourrait me plaire. J’avais fait mine de ne pas comprendre. — Quoi, ...
    ... le sexe ?, demandai-je. — Ben oui, évidemment, répliqua-t-elle avec un rire triste qui parvint tout de même à sécher un peu ses larmes. Je posai un baiser tendre, paternel pour tout dire, sur son front. — Je ne sais pas quoi te répondre, ma chérie, qui ne soit ni un mensonge, ni une sottise, ni une évidence. Tu sais, dans ma vie, il y a eu ta mère, mais à part cela, je n’ai pas non plus une expérience... comment dire ? démesurée. Laure s’était arrachée à mon étreinte. Les larmes taries net, elle m’avait toisé avec une insolence presque agressive. Puis elle lâcha, une moue de mépris lui tordant la bouche : — T’avais raison, c’est un mensonge. — Comment ?, demandai-je. L’orage de sa colère déferla sur moi. Elle se leva, toute érinnye, et me hurla : — Tu me mens, merde ! Dans un moment comme ça, tu mens comme le premier salopard venu ! A ta fille, pauvre con ! Ta fille unique ! — Chérie, je ne... — Ne le dis pas, Papa ! Ne me dis pas que tu ne comprends pas ! — Mais je... — Mais tu as été vu ! Tu comprends, ce que je te dis ? — Vu ? Mais qu’est-ce que tu racontes ? Laure avait soudain tiré de sa poche son téléphone portable, et elle pianotait dessus, browsant les photos, tout en fulminant : — Vu, oui, vu, ce qui s’appelle vu ! Par une fille de la promo précédente. Elle a eu le bac l’an dernier. Cassandra, elle s’appelle. Elle t’a reconnu, de l’autre jour, quand tu étais venu me chercher à la sortie du lycée. Elle t’a reconnu dans ce... club, c’est comme ça qu’on dit ? — On dit un ...
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