Les machinations de Laure (3)
Datte: 19/05/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
... fantasmes qu’elles m’inspiraient. J’étais toujours assis à califourchon sur ma chaise et Hello passa devant moi sans un regard. Elle marcha jusqu’à la première serviette-éponge qu’elle trouva sur l’étendoir, s’en empara, se sécha rapidement et se l’enroula autour des cheveux. Je demandai : — Ça ne te choque pas ? Elle avança jusqu’au lavabo, se regarda dans le miroir qui le surmontait. Le lavabo était fixé dans un long meuble blanc qui formait placard. Hello en ouvrit les portes, jetant un œil à l’intérieur pour repérer les cosmétiques de Laure. Elle dit : — On n’a pas le même teint, ta fille et moi. Ça ne va pas être évident. — Réponds-moi. — Si, ça me choque. Elle tira du placard un fond de teint, du mascara, une palette de maquillage. — Mais d’un autre côté..., reprit-elle en se posant sur les joues et le front des noisettes de fond de teint. J’attendis. Je la regardais. Son cul musclé, rond, parfait, attirait mon regard. Elle plia légèrement la jambe droite, la tournant un peu vers l’extérieur. Mes yeux remontèrent le long des reins, dans la cambrure du dos, jusqu’aux épaules, et soudain, dans le miroir, mon regard croisa le sien. Espiègle. Un début de sourire poignait à la commissure de ses lèvres. Tout en s’étalant le fond de teint sur le visage, elle dit : — Moi, par exemple. Je suis bien la fille de quelqu’un, aussi. Ça t’inspire des scrupules ? — Aucun. — Laure, de son côté... Enfin, tu sais bien. — Je sais bien quoi ? Elle ouvrit le tube de mascara, s’en orna les ...
... cils de l’œil droit, et dit : — Enfin, je me comprends. — Vous vous êtes rencontrées où ? Elle orna les cils de son œil gauche, puis souligna chacun d’un trait de noir. J’insistai : — Comment vous êtes-vous rencontrées ? La jambe droite d’Hello se dirigea vers le haut. Son genou atteignit le rebord du meuble. Elle prit appui sur les deux mains, et releva également la jambe gauche. Elle était maintenant à genoux sur le placard, le pubis largement ouvert juste au-dessus du lavabo. Hello saisit la palette et entreprit de se maquiller les paupières d’une touche dorée à peine perceptible. Je sentais qu’elle n’avait pas envie de répondre à ma question. Je changeai de tactique : — Bon, d’accord. Tu es bien la fille de quelqu’un. Et alors ? C’est mon âge qui te gêne ? Elle ricana. Referma la palette. La reposa sur le bord du lavabo. Fit la moue. Je repris : — Pourquoi Laure t’a-t-elle demandé de venir ici ? Hello, toujours à genoux, pivota le buste vers la gauche, prit la pose de profil par rapport au miroir, et saisit ses cheveux pour les relever derrière sa nuque. Elle me jeta un sourire, m’envoya une mimique de baiser. — Réponds ! Pourquoi ces manigances ? Qu’est-ce que vous voulez de moi, toutes les deux ? Réponds-moi ! Hello me laissa égrener mes questions sans cesser de me regarder. J’avais à peine fini de parler qu’elle me gratifia d’un sourire ravageur et... pissa dans le lavabo. — Désolée, dit-elle, je ne pouvais plus me retenir, et toi, avec tes questions... Je me levai ...