1. le conflit des générations (2)


    Datte: 19/05/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... jouis encore, le plaisir durait. Je me cabrai et essayai de bouger pour dégager mon clito. Ma tante arrêta mais pas Albert qui augmenta la vitesse encore plus. Elle s’approcha de moi, le martinet à lanières noires à la main et me fouetta les seins très fort, ils étaient déjà très sensibles car ça faisait déjà un bon moment qu’ils étaient attachés. Je m’agitais dans mes attaches et criais à travers le baillon autant de douleur que de plaisir la chatte labourait par la machine qui était quasiment à la vitesse maximum, Albert qui de temps en temps appliquait le vibro sur mon clito. Ils arrêtèrent enfin, j’avais les seins en feu. Je levais la tête pour les regarder, ils étaient rouges, des zébrures et des boursoufflures apparaissaient. Ma tante les détacha puis les caressa. Je gémissais car ça me brûlait. « J’étais contente hier quand j’ai compris que tu aimais que l’on te maltraite les seins, avec des gros nichons comme ça on peut s’amuser » Je fus détachée de la table puis accrocher à côté de ma cousine. Albert avait repris le camescope et filmait nos corps attachaient à la poutre. Ma tante fouetta ma cousine avec le martinet coloré sauf sur les fesses où elle prit l’autre celui qui faisait très mal. Ensuite elle lui appliqua la boule vibrante sur le clito et l’obligea à jouir plusieurs fois. A tel point que Lolo essayait de se dégager. On nous détacha enfin. On dut se mettre à quatre pattes et ouvrit nos culs à deux mains. Je sentis que l’on forçait mon cul c’était le voisin ...
    ... qui voulait me sodomiser pendant que ma tante filmait à son tour. Il fit quelques aller retours et passa au cul de Lolo. « Maintenant à genoux et léchaient moi, la queue ! Toi lèches moi les couilles et toi suces moi la bite ! Humm c’est bon. Aller inverser. Face à face et coller vos nibards et frottez-vous » Il jouit sur nos seins. Puis il prit le camescope pour filmer et notre tante se mit assise et nous appela tout en déboutonnant son chemisier. Je suivis ma cousine et fis comme elle, je tétais le sein de ma tante. « C’est de bonnes filles, qui aiment leur maman » On rentra à la maison toujours filmée. On dut se doucher ensemble devant eux. J’avais les seins qui me brûlaient quand à Lolo elle, s’étaient ses fesses. Ma tante nous donna un baume que l’on se badigeonna mutuellement sur les zébrures. On alla se coucher épuisées par le traitement que l’on venait de subir. Quand des bruits nous firent descendre doucement. On regarda dans le séjour. Ma tante et Albert visionnaient le film en baisant. On remonta discrètement car on avait déjà mal partout on ne voulait pas être à nouveau fouettées. Le lendemain au réveil, ma tante le camescope à la main, nous obligea à faire un soixante-neuf. Nous avions mal au clito et nous avions du mal à jouir, mais la vision du martinet noir dans sa main acheva de nous convaincre. Mais la vision de mes fesses blanches lui donna envie de s’en servir malgré tout, comparait à la veille s’était supportable et nous finîmes par jouir. Ma tante regarda ...