Les carnets d'Anita
Datte: 20/05/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... arrêt a eu lieu dans une petite ville organisant un vide-grenier. Dans les allées, j’attirais d’autant plus les regards que j’étais raide dans ma démarche. Il faisait chaud mais j'étais la seule à être aussi peu habillée. Celles qui m’accompagnaient marchaient en regardant un peu partout, à la recherche d’une idée… « Attrape cette boîte rouge, là-bas ! » La table était large : il fallait que je me penche et que je m’étire. Après quelques secondes, l’exposant est venu m’aider, après avoir bien regardé mes seins. J'ai à peine eu le temps d'encaisser le coup : « Tiens, essaye ce chapeau ! » : la jeune femme qu’on mettait en garde prenait goût au jeu… Après quelques secondes d’hésitation, j’ai levé les bras : j'ai senti le tissu remonter le long de mes fesses. J’avais beau avoir une accompagnatrice devant et une derrière, j’avais bel et bien le sexe et les fesses à l’air « On ne t’a pas dit de baisser les bras ! ». J’ai vu l’exposant qui se plaçait pour voir, puis j’ai croisé le regard de plusieurs passants… « C’est bon ». J’ai enfin baissé les bras. Un peu plus loin, une femme bradait des paires de chaussures. Une de mes accompagnatrices m’a dit : « Je chausse du 39 ». Après quelques instants de réflexion, j’ai compris qu’il me fallait m’accroupir pour lui enfiler les chaussures. Je me suis exécutée : je l’ai déchaussée, j’ai posé son pied sur ma cuisse et j’ai levé les yeux, attendant son signal, puis j’ai enfilé la chaussure à son pied. Cette scène n’avait pas plu à ...
... l’exposante : « Vous ne pouvez pas mettre un slip et un soutien-gorge, comme tout le monde ? » J’ai bredouillé des excuses en serrant un peu les cuisses, alors que quelques badauds se retournaient. Devant le regard de mes accompagnatrices, elle n’a pas insisté et nous nous sommes éloignées. Nous passions de stand en stand, presque tout le monde voyait mon corps... mais elles n'en avaient pas encore assez... « J’ai une idée, je reviens !» Elle est partie sans dire un mot, et la visite humiliante des allées a repris, certains ne se gênant pas pour faire des remarques à voix haute. Dix fois, j’ai dû ramasser un trousseau de clés, me pencher, m’accroupir. A chaque fois, elles remontaient la robe avec une petite baguette. A chaque fois que quelqu’un voyait quelque chose, l’une des femmes faisait un petit bâton sur son calepin, en ricanant. Elle disait à l’autre femme « Tu vois ce qui t’attends si tu ne te tiens pas tranquille ! » Et elles riaient de moi… Et puis l’autre est revenue avec un paquet. Arrivée devant nous, elle en a retiré un soutien-gorge blanc qui ne devait pas cacher grand-chose : « C’est pour qui, ça ? », et elle m’a lancé l’article « Viens par ici ! » Elles m’ont entraînée un peu plus loin, dans une ruelle en impasse. J’ai enlevé la robe avant qu’elles me le demandent. Elles faisaient un peu écran avec la foule, mais j’étais quand même entièrement nue, et les secondes me paraissaient des heures ! Enfin, on m’a passé le soutien-gorge. Je l’ai mis en vitesse et j’ai attendu ...