1. Les carnets d'Anita


    Datte: 20/05/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... de longues secondes sous l’œil et la moue des trois femmes. L’une d’elle s’est appochée de moi et a jeté de l’eau froide sur mes seins, avant de les frotter pour m’humilier : la transparence était presque parfaite les tétons déformaient le tulle, et j’ai pu remettre la robe. Elle m’a ensuite donné des consignes. Avant de me laisser partir, elle m’a arraché un bouton de plus au décolleté de la robe, m’a fait écarter les deux côtés pour asperger mes seins encore une fois. L'eau a aspergé mon sexe et coulé le long de mes jambes. Alors comme il me l’avait été ordonné, je suis retournée voir celle qui bradait ses chaussures : « Qu’est-ce que vous voulez encore ? » Mon cœur battait à toute vitesse, je me suis lancée en écartant mon décolleté « Je voulais m’excuser pour tout à l’heure… regardez, j’ai mis un soutien-gorge mais la culotte, ça je n’ai pas le droit… » Elle était stupéfaite et furieuse, j'ai pris une gifle magistrale. Les passants venaient voir, les gens commençaient à s’attrouper : les 3 femmes m’ont récupérée et nous sommes parties à temps. A peine dans la voiture, celle qui apprenait vite m’a arraché le soutien-gorge et mis les seins bien à l’air. Un peu plus loin, elle a enlevé le reste et a tout jeté par la fenêtre. J'étais humiliée et excitée comme jamais. Le deuxième arrêt s’est produit en pleine ville. J’ai été sortie sans ménagement de la voiture et emmenée dans le hall d’un vieil immeuble. Après quelques minutes interminables, nous sommes montées au ...
    ... troisième. Une femme d’une soixantaine d’années a ouvert la porte. Après m’avoir détaillée de la tête aux pieds, elle nous a fait entrer… et j’ai découvert une vingtaine d’hommes et de femmes. On m’a mise sur la table de salon, et tout le monde est venu me toucher partout, constater que j’étais trempée. Après, ils sont tous partis dans le pièce d’à côté, pour discuter. Quand ils sont revenus, une des femmes m’a dit « Quand je te le dirai, tu viendras ici pour faire le service à table, compris ? » J’ai acquiescé en baissant les yeux. Alors nous sommes reparties… … directement chez moi. En arrivant, j’ai supplié pour qu’elles me laissent jouir. Alors elles m’ont dit de les attendre chez moi : elles m’ont jetée nue sur le trottoir, m’ont lancé les clés et je me suis précipitée à l’intérieur de l’immeuble. Le couple du deuxième est sorti au moment où je passais : ça ne serait jamais plus comme avant… d’autant que la commère m’a vue également. Mais moi j’étais surtout incroyablement excitée… je voulais qu'elles reviennent finir leur travail... Elles ne sont montées qu'une demi-heure plus tard, et je me suis vite retrouvée attachée les bras en l’air pour un séance de flagellation. J'ai dû avouer que j'étais une traînée, que je serai leur jouet, que je l'avais bien méritée, cette correction. J'aurais voulu qu'il y ait des dizaines de spectateurs...Quand ça a été fini, l’une des trois m’a enduite de crème apaisante, ce qui m’a fait jouir très fort et très vite, pendant qu'une autre fouillait ...