1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (16) : gang bang et rencontre avec Marie


    Datte: 25/08/2017, Catégories: Dans la zone rouge,

    ... mordais les lèvres pour ne pas crier. Pas question d’offrir ce plaisir à Marie, qui l’encourage à frapper plus fort! Un coup se perdit sur mes seins, un visa mon sexe et une douleur fulgurante me traversa ; le fouet avait touché mon clitoris et malgré moi, je hurlais. Puis ce fut au tour de Jean. S'armant d'un martinet à sept lanières en cuir, il commence à corriger mes fesses, appuyant à peine pour les premiers coups. Cela ne m’a pas fait vraiment mal. Progressivement les coups deviennent plus douloureux. Aussi j’essaie de ne plus penser à la douleur insinuante qui envahit son corps martyrisé. Marie prend à son tour une cravache de jockey, fustigeant par quelques coups anodins la croupe déjà rougie par la flagellation du martinet, qu'elle cingle ensuite régulièrement, pour finir par une bastonnée violente qui m’empêche presque de respirer, tellement la douleur est effroyable. Puis, sadiquement, Marie m’enfonce d'un seul coup le manche de sa cravache dans l'orifice de mon rectum, m’arrachant un hurlement effroyable. • Oooooooooooh..........! Mon Dieu ! Tu m'as transpercée. Oh ! J'ai mal. Retire-la je t'en supplie. Oh ! Non arrête, tu me fais trop mal. Ahhhhrrrrrrrrrrr...... • C’est ça, fais ta mijaurée ! C’est un cheval qu’il faudrait pour bien te remplir ! Marie agite dans tous les sens le pommeau en cuivre de la cravache dans mon pauvre derrière dévasté, puis, le retirant d'un trait, elle s’arme d'une chambrière avec une longue mèche au bout, qui vient frapper ma vulve et ...
    ... brûle mes muqueuses devenues si sensibles. Mes fesses deviennent vite rouges, laissant du sang perler parfois des zébrures. Je laisse éclater des sanglots. De temps en temps, le fouet vient s'enrouler dans ma raie culière, la mèche cinglante venant meurtrir le vagin trop exposé. Je ne peux m’empêcher de laisser de sourdes plaintes s'échapper de ma gorge lorsque les lanières s'enroulent dans mon entrecuisse, surtout quand les mèches cinglent méchamment mon clitoris et les chairs entrouvertes de ma vulve. J’ai une furieuse envie de crier, mais je ne lui offrirai pas ce plaisir. Je me retiens, des larmes coulant seulement à grosses gouttes sur mon visage. Je suis heureuse de pouvoir résister à la douleur affreuse que m’administre cette garce. Soudain, je sens que mon vagin laisse s'écouler une mouille abondante et une volupté intense s'empare de moi. Je retiens car j’ai peur que ma tortionnaire ne sache plus s'arrêter. Mais cela n’a pas échappé à Marie. Sa main, avec ses ongles pointus, s’enfoncent dans ma chatte : • C’est incroyable, cette salope est trempée. Elle aime ça, elle prend son pied ! • Oui j’aime ça ! Vas-y, ne te gêne pas. Rachid, qui a dégainé une imposante verge de son pantalon, tout en se branlant, regarde avec des yeux exorbités le spectacle. Jean lui propose de m’enculer. Sans plus hésiter, Rachid me détache, s'approche de mes fesses sanguinolentes et, écartant les globes d'une main, il pointe son phallus sur la pastille brune, perçant l'œillet sans coup férir ...
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