1. Le garde du corps - Fin


    Datte: 22/05/2019, Catégories: fh, ff, frousses, Collègues / Travail uniforme, amour, Oral policier,

    ... le clebs ! Le cuistot a un langage châtié, dites donc… Il est grand et mince, ce n’est pas Harold. En deux foulées, je suis à côté de lui. Il a la caisse dans les bras, et Falco dressé sur ses pattes arrière, qui gratte avec ses pattes avant la boîte. — Vous posez immédiatement cette boîte au sol, et vous reculez de trois pas. Immédiatement ! J’ai la main droite dans mon dos, j’ai saisi la crosse de mon Glock. Florence contourne le gars, elle a aussi sa main droite dans le dos. — Hé ho, vous faites quoi, là ? Florence sort sa carte de police de sa main libre, la déplie, et lui fout sous le nez. — Quand on dit immédiatement, c’est immédiatement. Au sol, la boîte, vite ! Le gars pose la boîte. Il a l’air éberlué. Falco continue à gratter. — Stop, Falco. Il s’assoit à côté de la caisse. Le gars recule. — Mais vous faites quoi, là ?— Silence ! J’ouvre précautionneusement la caisse. Juste à retirer le couvercle. Ok, poupées Russes. Une autre boîte. Je l’ouvre. Un gâteau super appétissant, entouré de feux de Bengale. Un par un, je les détache, et les enlève tous. Je vais les poser sur une caisse plus loin. — Falco, travaille ! Je lui montre la caisse ouverte sur le sol. Il s’approche, renifle, puis me regarde. Ensuite, il trottine vers la Fly Box où j’ai posé les feux de Bengale, et se met à frétiller de la queue, se dresse sur ses pattes arrière et se met à gratter la boîte… — Ok, c’est bon. Je reprends les artifices, les donne au gars. — Les feux de Bengale sont des explosifs, et ...
    ... vous êtes en zone contrôlée. Allez, c’est bon, allez ranger le gâteau. Filez ! Le gars referme la boîte soigneusement après avoir remis les feux et part en grommelant. — Bande d’enfoirés… Florence vient vers moi. — Il est vachement efficace, Falco, dis donc !— Oui, il est bien dressé. Et attachant, tu ne trouves pas ?— Oh oui. Dis-moi, tu penses qu’on pourrait décompresser un peu, toi et moi ? Ça m’a donné des frissons et je dois dire que ça m’a excitée, cette histoire.— Décompresser ?— Oui, ne fais pas semblant de ne pas comprendre… Y’a deux loges de libre, dont une avec un canapé. Je m’allonge sur le dos, nue, j’écarte mes gambettes, tu me pénètres, tu me remplis, et tu me fais l’amour lentement. Tout à l’heure, comme ça faisait longtemps, j’avais envie d’aller vite. Là, maintenant, j’aimerais en profiter un peu, tu comprends ?— Hum, c’est-à-dire que je ne suis pas sûr que Marlène apprécie ça. Elle est cool à ce niveau-là, mais seulement si elle est au courant. Sinon, je ne sais pas comment elle réagirait. Et comme je l’aime…— Ah si ce n’est que ça, tout à l’heure, quand on s’est bisouté nos minous, je lui ai dit que j’aimerais te demander de me faire l’amour plus tranquillement, et elle était tout à fait d’accord. Va lui demander, si tu ne me crois pas. Je ne me vois pas déranger Marlène en pleine concentration, surtout pour ça. Je regarde Florence. Elle se passe la langue autour de ses lèvres. — Alors, je te plais ? Je te suce avant, si tu veux. Imagine, je te malaxe tes ...
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