Le garde du corps - Fin
Datte: 22/05/2019,
Catégories:
fh,
ff,
frousses,
Collègues / Travail
uniforme,
amour,
Oral
policier,
... boules, ma langue te titille le gland… Elle sait y faire, la fliquette. À cette évocation, mon sexe durcit. — Allez banco. Elle est où, la loge libre ?— Là-bas, suis-moi. Avec Falco sur mes talons, je suis la miss. J’adore son déhanché. J’espère que c’est vrai, pour Marlène. D’un autre côté, ça lui ressemble bien. Flo ouvre la porte d’une loge. Nous entrons. Elle referme la porte à clé. — Falco, couché, là ! Falco se couche dans un coin. Il nous regarde. Florence a posé son Sig Sauer sur la commode. Elle se déshabille. — Ho, tu mates, ou tu te désapes aussi ?— Les deux ! Je pose mon Glock à côté du Sig, et j’enlève mes vêtements. Florence est déjà nue. Elle s’allonge sur le canapé. Avec sa main, elle commence à se caresser. Une fois nue, je m’approche du canapé. — Allez, viens là, beau brun. Je m’approche de Florence, mon sexe est au niveau de sa figure. Elle le prend en main, et commence tout doucement à me masturber. Ensuite, elle le met dans sa bouche, et entreprend une fellation divine. Elle ne me quitte pas des yeux. Je lui caresse l’arrière de la tête, lentement, doucement. Je me penche en avant et lui fait un baiser sur le haut du crâne. Au bout de plusieurs minutes de ce traitement, je suis à la limite de l’explosion. — Arrête, je vais jouir… Elle recule sa tête, libérant mon sexe. — C’est l’idée, mais pas trop vite ! J’aimerais en profiter, si tu n’y vois pas d’inconvénient. Je me penche sur elle, embrasse sa bouche, puis son cou. Je descends sur ses seins, que je ...
... lèche doucement. Je prends mon temps, le temps de faire descendre l’excitation que m’a procuré sa fellation. C’est vrai qu’elle est musclée. Quasiment pas de cellulite, des abdos « tablette-de-chocolat », des bras et des cuisses musclés… Mais néanmoins féminine. Quel mélange ! Ma langue continue sa descente, visite son nombril, atteint sa petite toison. Avec mes doigts, j’écarte doucement les lèvres de son sexe. Ma langue s’insinue dedans, déloge son bouton, et le lèche doucement. Florence relève les reins, s’ouvrant un peu plus. Je continue le traitement, elle l’apprécie ; j’entends quelques petits gémissements. Je lui embrasse le sexe, sa toison, l’intérieur de ses cuisses. Sa peau est douce. — Viens tout de suite, j’en peux plus. Et ne mets pas de préservatif, j’ai moins de sensations avec. T’inquiète, je suis clean, et j’ai un stérilet ! Tu peux te vider dans mon ventre, aucun souci. Je monte sur le canapé, me mets à genoux, relève ses jambes. Je présente mon sexe devant sa fente, et d’une poussée tranquille, la pénètre profondément. — Putain comme c’est bon… Vas-y, fais-moi planer ! Ah, je te sens bien… Je cale ses mollets sur mes épaules, pose mes mains de part et d’autre de sa tête, m’incline vers elle et, avec d’amples coups de reins, je lui fais l’amour. Elle serre ses jambes autour de moi, les replie pour me tirer, pour que je m’enfonce encore plus profond en elle. Elle a les yeux fermés, son visage est contracté. Elle me tire de plus en plus fort, de plus en plus ...