1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1163)


    Datte: 22/05/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... depuis que le feu s'était complètement éteint... Intriquer, espérant là un signe du fantôme du Marquis d’Evans, je déposai précautionneusement le parchemin à l'encre effacée sur l'assise de la chaise, telle une rose qu'on dépose sur la tombe de son bien aimé et aider de mon smartphone je m'avançais doucement, prudemment avec un sentiment mélangé de peur et d’espoir. Sur un petit guéridon, je trouvai un vieux calepin à la reliure en ancien cuir brun foncé par le temps, avec en incrustation dessus les Armoiries de la Famille des Evans. Je l'ouvris au niveau du signet constitué d’un étroit morceau de tissu au liseré d’or et y découvris magnifiquement calligraphier toujours à l’encre d’une sublime plume d’oie, deux odes dédiées à la punition et à la soumission. Je tremblai d’excitation à la lecture de ceux-ci : Divine punition : d’Emma de Fontange (Juillet 1784) (NDLA voir les Origines de la Saga) : Ecartelée et frémissante, En tout cas ruisselante, Pieds et poings enserrés De bracelets lourds et ferrés J'attends avec bonheur Qu'enfin sonne l'heure D'une main ferme qu’Il m'inflige Ma punition. Fessées obliges, Avec dextérité Sa main vole D'un globe à l'autre, je décolle Douce frontière entre plaisir et douleur Je Lui prie de ne pas perdre Son ardeur D'une main Il me fouille, me fesse, De l'autre main Il me palpe, caresses Ma fente ruisselante Le réclame, affamée Dominant, Il veut m'entendre supplier Ruant dedans mes lourdes chaînes Désormais je me sens Sa chienne Un à un Ses ...
    ... longs et puissants doigts Prennent lentement possession de moi C'est dans un cri de jouissance sans fin Que finalement, j'avale en entier Sa main... La simple lecture de ses mots, me fit éprouver une douce chaleur dans le creux de mes reins... sentiment d'envie et de peur... Lorsque la voie de ma destinée me fut clairement révéler à la lecture de l'Ode suivante sur la page en face. Ode à Ma Soumise (Poème écrit par le Marquis d’Evans de l’époque en 1784.) Ries donc soumise, tant que s’y prête l’heure Oui ries, car bientôt tu verseras des pleurs Souviens-toi de ta liberté gardes la en mémoire Car Maitre va bientôt t‘emprisonner, à l’abri des regards Impuissante, tu seras Ma belle captive soumise Et du Maitre, tu satisferas Mes exigences requises Tu ne te dresseras pas contre Moi, tu seras obéissante En défiant Son autorité, tu sauras ce qu’est la souffrance Les membres entravés par d’épaisses, lourdes cordes jaunes A genoux sur l’écarlate tapis, Le Maitre te fera l’aumône D’un dressage que tu souhaiteras être sans concessions Tandis qu’en toi tu l’accepteras avec ferveur et dévotion Alors… tu ris belle soumise, ris tant que s’y prête l’heure Car le Maitre entrera dans ton être, possédera ton corps Souviens-toi de tes années d’insouciance sereine Quand le Maitre ce jour-là, te proclamera sienne Tu seras à Son service et réduite en esclavage Tu n’en auras cure, tu souhaiteras les entraves Car à jamais tu désireras vouloir Lui appartenir Pour être toi soumise et combler ses petits ...