1. AUTO-STOP


    Datte: 23/05/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... cou gracile lui donne un port de tête altier. J’avais déjà remarqué sa poitrine avantageuse, mais le petit débardeur noir qu’elle porte, en ce jour d’automne la met particulièrement en valeur. Je ne l’avais jamais vue autrement qu’en pantalon, mais elle porte aujourd’hui une courte jupe en jean, qui dévoile de longues jambes bronzées terminées par de petits pieds aux ongles du même rose que ses main, enserrés par des nu-pieds à talons,. Elle doit sentir mon regard, car elle tourne vers moi un visage interrogatif. « Moi c’est Jules » dis-je, en matière de présentation. « Enchanté Jules, moi je m’appelle Patricia, mais tout le monde m’appelle Patou. » « Excuses moi, de te dévisager, mais je te trouve assez différente de jour. » « Ah ! Et je suis moins bien ? » « Non, non, ce n’est pas ça, au contraire, tu es encore plus jolie. » « ça, c’est gentil » me dit elle « généralement, c’est plutôt l’inverse. On flashe sur quelqu’un dans la pénombre, avec les projecteurs, et ensuite on est déçu. » « Donc, la lumière du jour ne m’a pas trop changée ? » demande t’elle « Si, mais en mieux, et tu es en jupe alors qu’en boite tu étais toujours en pantalon. » « Donc, c’est mieux si je montre mes jambes ? » « Quand on a d’aussi jolies jambes, il n’y a pas à douter. » « Sauf qu’en boite, je suis plus libre de mes mouvements en jean. En tout cas, tu es observateur. » « Pas difficile de regarder une si jolie fille, mais plus dur de l’aborder, même si je ne t’ai jamais vue flirter avec un gars. » ...
    ... « Humm, vil flatteur, tu semble avoir bien flashé sur moi. Pour tout dire je t’avais repéré, de mon côté, mais j’attendais que tu fasses le premier pas. » « Malheureusement, ma saison se termine, et je quitte la région, raison pour laquelle je fais du stop. » « Aie, la vraie vie nous rattrape » grimace t’elle Le temps de notre conversation, nous sommes arrivés à la route nationale. Je dois partir à gauche et elle à droite. Elle range sa voiture sur le bas côté. « Bien, je crois que c’est là qu’on se sépare » me dit elle. Je m’approche d’elle et elle jette ses lèvres contre les miennes. Notre baiser est long, et passionné. Ma main s’est posé sur un sein que je malaxe avec entrain. Le téton se dresse sous le tissu fin du débardeur. Je passe mes doigts sous le vêtement pour aller directement empaumer cette masse tiède et ferme. Pendant ce temps elle a glissé ses mains sous ma chemise et me caresse. Sans cesser de l’embrasser, je remonte le débardeur et découvre deux seins ronds et fermes. Je saisis les pointes que je fais rouler sous mes doigts, et elle se tord sous ma caresse. Tandis que ma main gauche s’occupe des seins, ma main droite est descendue sur sa cuisse, et remonte doucement jusqu’à la fourche de ses jambes. « Hé ! « dit elle en interrompant notre baiser « Ce n’est pas parce que je te trouve sympa, qu’il faut croire que tu peux tout faire. » Je la regarde en souriant, et en posant de légers baisers dans son cou et sur ses seins. « Je vais partir, et on ne se reverra ...