1. AUTO-STOP


    Datte: 23/05/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... peut-être jamais. Si tu en as envie comme je le pense, c’est maintenant qu’il faut en profiter. » Elle ne répond pas, mais je sens ses cuisses s’écarter pour laisser passer ma main. J’écarte la culotte noire, et faufile mes doigts sur sa chatte déjà humide. J’introduis un doigt dans sa cavité mais elle m’interromp. « Attends »me dit elle, et elle fait glisser la culotte de satin qui finit sur la moquette, avant de s’’écarter largement pour que je puisse introduire deux doigts dans son minou bien rasé. La chair rose de sa vulve tranche avec le hale prononcé de sa peau. Je stimule son clitoris et la doigte pendant qu’elle halète en ondulant du bassin autour de mes phalanges. Elle a soudain un orgasme bref sur ma main inondée. Elle se rend alors compte de la situation. Elle est au bord de la route, poitrine offerte, dans une voiture en plein soleil. Elle tire alors sur sa jupe, et me dit. « On ne peut pas rester là. » Elle démarre et fait quelques centaines de mêtres, avant de tourner dans un chemin qui s’enfonce dans la forêt, et de stopper dans le sous-bois. Je l’embrasse de nouveau, et fais passer le débardeur par dessus sa tête, pendant qu’elle m’ote ma chemise. Je drégraffe sa jupe, qui rejoint le débardeur sur le siège arrière. La voiture est petite et peu pratique. Je décide donc de sortir, et contourne le véhicule. Patou est debout dans la lumière tamisée du sous bois, vétue seulement de ses nu-pieds et de son vernis à ongles. Elle s’assied sur le capot de la voiture et ...
    ... relève les jambes. Je n’ai qu’à déboucler mon ceinturon, faire glisser jean, et boxer. Elle frémit en voyant mon sexe érigé. Sa chatte juste ornée d’un petit ticket de métro, est déjà entrouverte. Je viens y appuyer mon gland et d’une lente poussée je l’investis dans un soupir de bonheur. Je commence à balancer mon bassin, et à venir en elle de plus en plus profondément. Elle accompagne mes mouvements et relève ses jambes qu’elle maintient écartées, en les soutenant sous les genoux. Nos corps claquent l’un contre l’autre et nos ahanements de plaisirs résonnent dans le sous bois. La tension monte de plus en plus,et Patou se laisse aller. Allongée sur le capot, elle a passé ses jambes par dessus mes épaules, et gémit sous mes assauts. Je reviens sur ses seins que je triture jusqu’à ce que ses tétons soient longs et durs. Elle m’encourage de la voix : « vas-y, plus fort, c’est bon ! oui ! oui !Aie ! ça fait mal mais c’est bon ! encore ! encore aaah !. » Elle jouit bruyamment et me saisit pour me faire jouir rapidement sur son ventre et ses seins. Elle s’agenouille devant moi et prend ma queue dans sa bouche, la suçant longuement, tout en caressant mes couilles de ses mains. Elle aspire mon gland, sort pour me lécher, et revient pour me gober, m’enfonçant de plus en plus profond dans sa gorge. Ce traitement est efficace car elle me maintient en erection. Une fois que j’ai retrouvé une consistantce qui lui convient , elle se relève, et me tourne les dos, s’accoudant sur le capot, ...