1. COLLECTION ZONE ROUGE. Anna Duval grande actrice de théâtre (1/1)


    Datte: 23/05/2019, Catégories: Dans la zone rouge,

    Anna Duval, le reportage que je vois sur mon actrice préférée sur FR3 me montre une femme magnifique, que j’adule depuis que je l’ai vu jouer, il y a cinq ans dans le Bourgeois Gentilhomme à la maison des théâtres de notre petite ville. J’étais encore un Provincial qui est monté à Paris pour réussir, ma spécialité, la magie, je fais apparaître et disparaître des choses depuis que je suis tout petit. Les premiers temps, j’arrive à décrocher deux ou trois contrats dans des cabarets minables. Tout s’est déclenché un jour dans le métro, j’allais faire mon numéro dans la boîte la plus pourrie de la capitale, je me tenais à la barre centrale d’un wagon quand une femme sortant certainement de son travail est montée et c’est placé devant moi. Elle avait son sac en bandoulière, malencontreusement ouvert, c’était trop tentant, en une fraction de seconde son porte-papier était dans ma poche. Ce soir-là, j’ai fait mon numéro persuadé qu’avant la fin, des policiers viendraient m’arrêter, il n’en fut rien, dans le café où j’avais pris l’habitude de prendre un café mon travail terminé, je l’ai sorti de ma poche et j’ai regardé son contenu. À part 20 € il n’y avait que des papiers, carte d’identité au nom de Geneviève Lara, elle habite non loin d'ici aussi, je décide de lui rapporter ses papiers pour lui éviter d’avoir tout à refaire. Mon grand-père qui m’a initié à la magie savait aussi ouvrir toutes portes, cadenas et autres systèmes de fermeture, il avait même fait de la prison pour ...
    ... cambriolage avec des comparses où il devait ouvrir le coffre-fort. Un jour que je l’interrogeais, il m’a conseillé de travailler en solo, c’est ce que je fais avec comme couverture mon travail au cabaret. J’ai visité plusieurs appartements, mais ce qui me manquait, c’était un receleur pour fourguer les bijoux nombreux qui s’accumulent dans ma chambre mansardée. Seul le fric me sert à vivre un peu mieux, je réussis à entrer, forçant le Digicode, appareil moderne, mais complétement inefficace pour un pro comme moi et après avoir lu le nom, M. et Mme Lara, 3e droite, je me retrouve derrière la porte, j’écoute, il est 21 heures, elle doit dormir, car aucun bruit ne filtre. La porte ne résiste à mon rossignol que cinq secondes et sans bruit j’entre, je suis dans la salle à manger, je viens lui rendre ses papiers, mais pourquoi avoir fait le chemin pour seulement les 20 € que je sens dans ma poche. C’est à ce moment que j’entends un gémissement, je me rapproche de la source de ce bruit, je constate qu’ils viennent de la chambre, je m’avance sur mes chaussons de danse que je porte quand je suis en mode monte en l’air et grâce à la glace de l’armoire, elle est là devant moi nue, empalé sur la bite de celui qui doit être le M. de la boîte aux lettres. Elle est assise à califourchon, l’une des positions que j’aime pour la femme quand j’ai des rapports avec une des rares maîtresses que j’ai réussi à séduire. Il a ses mains sur ses seins et chaque fois qu’elle se redresse pour mieux retomber ...
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