COLLECTION ZONE ROUGE. Anna Duval grande actrice de théâtre (1/1)
Datte: 23/05/2019,
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Dans la zone rouge,
... sur la verge qui la pourfend, elle a un gémissement, je sors ma bite et je me masturbe serrant mes lèvres pour éviter de montrer ma présence. J’ai souvent vu des films pornos sur Canal, le samedi soir, mais là le porno est en direct avec en plus une actrice simplement entrevue quelques minutes dans le métro. Quand je baise, j’adore parler, avec des mots crus du type, salope, grosse pute, c'est mon vocabulaire, là seuls ses gémissements me font bander encore plus fort. Encore quelques coups de bite en elle, c'est de véritable vagissement qui sort de sa bouche, mieux de sa gorge et même du fond de sa gorge, elle a un orgasme, un vrai, pas un orgasme simulé. Je bas en retraite sans avoir déchargé, la plupart des femmes où des hommes se déplacent dans leur appartement après avoir baisé, c’est le cas là aussi, son mec va dans la cuisine bandant encore à moitié. Elle boit une gorgée et s’agenouille, j’ai envie de lui caresser les seins comme lui le faisait tout à l’heure, je reprends ma masturbation. Elle se redresse se déplace jusqu’à la table, se couche les seins posés dessus les jambes écartées, il s’approche, écarte ses fesses et entre en elle. • Non, sodomise-moi, ma chatte à eux sa ration de plaisir. La salope, dans le métro, on pouvait la prendre pour une bourgeoise à qui l’on aurait donné le bon Dieu sans confession, là c’est une pute qui présente son cul à la verge qui sort de son vagin pour enter dans sa rosette, il s’en passe de beau chez les bobos. Il lui remplit le ...
... conduit anal dans un grand cri, alors que de mon côté des jets de sperme viennent engluer la porte derrière laquelle je me cache. Ils retournent dans la chambre, j’entends l’eau couler dans une douche ou une baignoire, il est temps de partir, j’en ai assez vu, mais avant de sortir aussi discrètement que lorsque je suis entré, je vois une veste sur un porte-manteaux, banco le portefeuille de M. est là, je l’ouvre, 3 billets de 500 € qui rejoignent les 20 dans ma poche. Je repose celui de Geneviève, et je sors les entendant rire dans leur bain. Dans les jours qui suivent, je recommence à faire le pickpocket et chaque fois que j’ai une adresse, je rends les papiers à leurs propriétaires, c’est comme un jeu pour moi, d’autant plus que huit fois sur dix, je ramasse de quoi vivre avec moins de galère. Je finis par être un pickpocket reconnu, dans les journaux plusieurs articles que je découpe parle de moi, le rat d’immeuble qui pique le fric, avant de rendre les papiers à leurs propriétaires, mais en leur en prenant chaque fois un peu plus. Je suis à la limite d’être L’Arsène Lupin moderne. Ce jour-là, je descends dans le métro, une affiche publicitaire attire mon regard. « Théâtre du Bon temps, Anna Duval dans « La Catin. Je vais la voir deux fois, mais je veux l’approcher de plus près, je me faufile dans les coulisses profitant des mouvements importants derrière la scène, j’arrive devant une porte marquée « Anna Duval » entrouverte, nous sommes à quelques minutes de l’entracte. Je ...