1. COLLECTION ZONE ROUGE. Anna Duval grande actrice de théâtre (1/1)


    Datte: 23/05/2019, Catégories: Dans la zone rouge,

    ... suis fou, j’espère dérober un objet qui me permettra dans ma chambre de me masturber en le touchant, le cajolant, le suçant même. Une brosse, trop voyante, une bouteille de parfum, pourquoi pas, j’en mets un dans ma poche, parmi les nombreux qui sont sur sa table à maquillage, j’hésite, quand j’entends quelqu’un venir. Quand on visite des appartements comme je le fais, il faut savoir d’un simple coup d’œil trouver où se replier dans la situation où je me trouve, la cachette est bien là sous cette table me permettant de voir l’intégralité de la loge. Un homme entre, il a une quarantaine d’années, il est en costume certainement fait sur mesure, il s’assoit sur le canapé où Anna a la possibilité de se reposer et allume un cigare. Du bruit me prouve que l’entracte est là, Anna apparaît dans sa guêpière les seins à moitié à l’air, ses bas résille tenus par des jarretelles, perchés sur des talons hauts. Avant la fin de l’entracte, elle enlève ses vêtements tenus principalement par des scratchs apparaissant dans sa magnifique semi-nudité, en gardant ses bas, cette tenue entraînant beaucoup de réactions du public. La presse a repris ce moment pour faire de la pub sur la pièce et je suis persuadé que grands nombres des spectateurs masculins sont venus pour mater mon actrice favorite. • Tu es là, Max, je sais ce que tu vas me demander, mais c’est non, tu ne me feras plus faire la pute. Le terme employé est surprenant venu de cette dame. Max se lève, envoie une baffe dans la figure ...
    ... d’Anna et l’attrape par les cheveux. Elle commence à pleurer. • Sale pute, si je te dis de recevoir notre producteur à la fin de la pièce, tu le reçois et tu fermes ta gueule, ce que tu lui feras avec ton cul, je n’en ai rien à foutre. Quand je te donne un ordre tu t’exécutes, quand tu te fais sauter dans des séries pornos crades et de bas étage, quand tu avais vingt ans, je t’avais dit que je t’aiderais à sortir de ta fange où tu te trouvais, mais que ton cul m’appartenait et que chaque fois que je te sifflerais tu retrouveras tes habitudes de ces années-là. • Lâche-moi, je ferais ce que tu voudras, un jour j’aurais ta peau salope. • Ma pauvre fille, si tu veux, je vais te trouver un « porte-flingue » qui viendra chez moi pour me tirer, mais ce sera à lui à que j’arracherais la tête. Il la lâche et sort fier de sa tirade, il est vrai que nous sommes dans un théâtre et que si ma vedette favorite avait les yeux secs, on aurait pu croire qu’ils jouaient une scène de la pièce, là elle a tout le mal du monde à récupérer pour la deuxième partie. Une costumière entre le remplaçant, elle aide l’actrice à mettre son nouveau costume. • Il vous a encore frappé, si vous voulez, j’ai un bon couteau chez moi, je vais le planter madame. • Surtout pas, je dois porter ma croix, mais je suis sûr qu’un jour quelqu’un me libérera, il a tellement d’ennemis que je suis sûr que ce moment arrivera. La pièce se termine sans que je puisse sortir, c’était calme quand je suis arrivé, là je pense qu’il va ...