1. Les vacances de Loubna


    Datte: 23/05/2019, Catégories: fh, alliance, gros(ses), grosseins, facial, Oral fgode, pénétratio, fsodo, jouet, attache, humour, totalsexe,

    ... yeux espiègles que ceux de mon épouse étaient tapis sous ce visage bouffi. Mais comment ma femme avait-elle pu ainsi dévoiler notre intimité à sa frangine ? Et surtout, que lui avait-elle dit ? — Il paraît que tu lui fais vraiment énormément de bien, renchérit alors Loubna, que ton sexe est très puissant en elle et qu’elle en éprouve beaucoup de plaisir. D’ailleurs je vous ai entendus l’autre nuit, à travers la cloison. J’en entendu comment tu la fais crier : pour qu’une femme crie ainsi il faut que son plaisir soit vraiment très intense… J’avais l’impression de me retrouver tout d’un coup sur une autre planète, en quoi tout cela la regardait-elle ? Pourtant, elle insista encore : — Une femme a besoin de beaucoup de sexe pour s’épanouir pleinement et, avec toi, Samira semble avoir tout ce qui lui faut. D’ailleurs elle m’a dit que tu es l’homme avec qui elle a éprouvé le plus de plaisir et, ces temps-ci qu’elle est enceinte, elle jouit encore plus fort quand tu la prends. J’étais plutôt gêné de ce tête-à-tête avec cette grosse femme qui me parlait sexe sans fausse pudeur. Profitant de ma perturbation, elle me donna alors le coup de grâce : — Elle m’a dit aussi que si tu voulais bien je pourrais, moi aussi, peut-être, en profiter, et me faire prendre par toi. Ça me laissa vraiment sur le cul. Je n’en crus d’ailleurs pas un traître mot. Samira, d’ordinaire si jalouse, ne pouvait pas avoir dit ça. — Tu sais, dans la famille, nous sommes très partageuses, ajouta-t-elle en guise ...
    ... d’explication, et j’ai prêté mon homme à certaines de mes sœurs. Lorsque Loubna était jeune et étudiante, elle était venue nous voir un été à Alger. À l’époque, elle vivait avec un jeune qui l’aimait mais la laissait insatisfaite en amour. Elle s’en était confiée à moi, et mon mari s’était occupé d’elle, avec mon accord, bien entendu… plusieurs fois, il était allé la rejoindre sur sa couche, pour lui procurer un peu de plaisir. Samira s’était bien gardée de me confier cet épisode. Elle m’avait pourtant parlé d’un certain Jean-Paul, son copain d’antan, éjaculateur précoce de son état, mais avait complètement zappé ces parties de jambes en l’air avec son beau-frère… — Alors maintenant, tu comprends qu’elle veut me rendre la pareille, et que tu t’occupes de moi. Pourquoi crois-tu qu’elle s’est arrangée pour nous laisser seuls aujourd’hui ? insista Loubna. On ne laisse pas une femme en manque d’amour comme ça, toute seule, avec un étalon… J’imaginais mal Samira en train de m’offrir ainsi à sa sœur, et pourtant… le visage lumineux de Loubna semblait prouver le contraire. D’ailleurs, comment aurait-elle osé dire tout ça s’il n’y avait pas eu quelques connivences ? Ce n’était visiblement pas du bluff, je la sentais ferme et déterminée. D’un autre côté, comment mon épouse avait-elle pu imaginer une chose pareille ? Je la revoyais toute doucerette, juste avant de partir : — Chéri, j’espère tu t’occuperas bien de ma grande sœur et que tu seras très gentil avec elle ! Je peux compter sur ...
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