1. Les vacances de Loubna


    Datte: 23/05/2019, Catégories: fh, alliance, gros(ses), grosseins, facial, Oral fgode, pénétratio, fsodo, jouet, attache, humour, totalsexe,

    Je suis marié depuis treize ans avec Samira, une jolie femme d’origine algérienne qui a tout pour plaire : des formes généreuses, une sensualité débordante et un sex-appeal à tomber par terre. Après une période difficile, durant laquelle nous avons même failli divorcer, notre couple se porte à nouveau plutôt bien. Nous avons deux belles petites filles, Nawel et Kathia, et mon épouse est enceinte d’un troisième enfant qui sera, paraît-il, encore une fille. Avec toutes ces femmes à la maison je n’ai plus trop mon mot à dire, elles me mènent un peu par le bout du nez, mais ce n’est finalement pas pour me déplaire. / - / - / - / - / Il y a de ça huit ans, nous habitions encore en région parisienne et Samira était enceinte de Kathia, notre second enfant. À cette époque, nos rapports étaient passablement tendus : érosion de l’amour et difficulté à se supporter mutuellement. C’est alors que j’appris par hasard, au détour d’une conversation, que ma compagne avait invité pour un long séjour une de ses sœurs. Elle avait tout organisé derrière mon dos. Loubna, qui vivait dans la banlieue d’Alger, avait déjà ses billets d’avion en poche. Elle était censée loger chez nous pendant plus d’un mois, et serait là d’ici quelques semaines. Ma compagne passa un sale quart d’heure car je lui fis une scène énorme. Comment avait-elle pu comploter tout ça sans m’en informer au préalable ? Comment pouvait-elle faire aussi peu de cas de mon avis ? — La famille c’est sacré, se contenta-t-elle de ...
    ... répliquer avec hargne. Sa sœur aînée était ce qu’elle avait de plus cher après sa mère. L’engueulade fut vraiment très rude, à tel point que je partis en claquant la porte et que je m’offris même le luxe de dormir la nuit suivante à l’hôtel. Toujours est-il que trois ou quatre semaines plus tard, nous étions à l’aéroport, à nous regarder en chien de faïence avec ma moitié, en train d’attendre patiemment l’avion d’Alger qui avait, pour ne rien arranger, pas mal de retard. Lorsque je vis ma belle-sœur, ce fut pour moi un choc ! Autant ma femme était potelée mais bien foutue, autant ses autres sœurs étaient fines et attirantes, autant Loubna (la seule que je ne connaissais pas encore) était grasse et obèse. Cela ne m’étonna par la suite qu’à moitié, car elle passait son temps à se bourrer de gâteaux et d’autres confiseries. Vêtue d’un long hidjab noir, son abord était d’autre part froid et peu avenant. Le premier contact fut réellement glacial, elle me jeta à peine un œil, il n’y en avait que pour sa frangine. Une fois les présentations effectuées, les deux femmes se glissèrent à l’arrière de la voiture et se mirent à parler dans leur langue natale pendant tout le restant du trajet. J’avais l’impression de faire taxi. Certes, je comprends quelques mots d’arabe mais pas suffisamment pour suivre une conversation. Ça commençait bien ! Je me sentais totalement exclu. Le soir même, dans l’intimité de notre chambre, j’en fis le reproche à ma femme qui s’insurgea une nouvelle fois en me ...
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